Pour la semaine de relâche, du samedi 4 mars au dimanche 12 mars, les familles s’amuseront en compagnie de Cyprienne, la sympathique ambassadrice du Musée régional de Vaudreuil-Soulanges. Chaque jour, dans ce magnifique bâtiment patrimonial du Vieux-Vaudreuil, une animatrice proposera des activités mettant en vedette la charmante souris. En premier lieu, les enfants partiront du thème de l’exposition Je m’inspire des grands maîtres... des Artistes en herbe pour réaliser le portrait de Cyprienne, comme l’aurait fait l’un des grands artistes suggérés. Pour ceux qui ne la connaîtraient pas déjà, ce sera également le moment de se familiariser avec la série de livres jeunesse mettant en vedette ce personnage bien spécial, qui possède le pouvoir magique de voyager dans le temps, au contact d’objets de la collection du Musée. Par la suite, la famille pourra choisir l’un des casse-tête à compléter, tiré des magnifiques illustrations des albums. De plus, les jeunes adoreront colorier un macaron à l’effigie de la souris, qui sera par la suite encapsulé et remis à l'enfant. Pour terminer la visite au Musée, petits et grands partiront à la découverte des quatre salles d'exposition. Le jeu de type "Cherche et trouve", conçu pour l’exposition regroupant les productions artistiques des élèves de la Commission scolaire des Trois-Lacs exercera leur sens de l’observation. Pour les élèves ayant participé, ce sera la dernière occasion de pouvoir visiter cette exposition se terminant le 12 mars. La visite des trois autres salles avec des devinettes à répondre pour obtenir une surprise permettra de découvrir sous un nouvel angle chacune des expositions présentées soit Au coeur de la Papouasie – Une périlleuse expédition de Daniel Bertolino, Clic et déclic – La photographie avant l’ère du numérique et l’exposition permanente Par les fenêtres de l’école... Coups d’oeil sur notre histoire.
Au cours des derniers mois, des centaines d'élèves ont reçu un laissez-passer, par l’intermédiaire du service éducatif, permettant de visiter le Musée gratuitement en compagnie de leur famille. Cette semaine thématique sera l'occasion idéale pour l'utiliser! En autre cas, le tarif d’entrée habituel s’applique. Exceptionnellement, le Musée sera ouvert le lundi 6 mars. Le reste de la semaine se déroulera selon l’horaire régulier soit du mardi au vendredi de 9h00 à 12h00 et de 13h00 à 16h30 ainsi que les samedis et dimanches de 13h00 à 16h30. Inspiration Papouasie Le mardi 7 mars de 14 h à 16 h, en lien avec l’exposition Au coeur de la Papouasie se tiendra l’activité familiale Éco-brico, dans la série Musée en fête, en partenariat avec Desjardins Vaudreuil-Soulanges. L'inscription au coût de 7 $ par enfant, 6 $ pour les enfants de membres du Musée et 5 $ pour les enfants de membres Desjardins, comprend l'animation, le matériel, la visite libre du Musée ainsi qu’une collation. Contrairement au reste de la semaine, les réservations sont requises pour cette activité, en composant le 450 455-2092. Le Musée régional de Vaudreuil-Soulanges est situé au 431, avenue Saint-Charles à Vaudreuil-Dorion. Pour plus d'information, visitez le site internet du Musée régional de Vaudreuil-Soulanges ou sa page Facebook. C’est une très belle exposition que vous propose la bibliothèque de Saint-Zotique du 13 mars au 5 mai 2017 puisque la jeune et talentueuse artiste-peintre Stéphanie Viens qui y présentera ses œuvres les plus récentes. Stéphanie utilise différentes techniques, mais elle privilégie le fusain et l'acrylique, le plus souvent en noir et blanc en y rajoutant une petite touche de couleur. Outre ses créations personnelles, l’artiste réalise également des commandes spéciales. Stéphanie Viens sera présente à la bibliothèque le samedi 18 mars, de 13h00 à 15h00 pour partager sa passion, échanger avec vous et avoir vos commentaires sur ses œuvres...
La bibliothèque de Saint-Zotique est située au 1250 de la rue Principale mais en attendant d'y rencontrer Stéphanie, vous pouvez aussi interagir avec elle via sa page Facebook.
John Haverty, lauréat du Luxembourg Art Prize 2016 - Crédit photo : Galerie Hervé Lancelin
Organisé par la Galerie Hervé Lancelin, le Luxembourg Art Prize est un prix international visant à révéler chaque année des talents, amateurs ou non, quels que soient leur âge et leur nationalité. Ce Prix a l’ambition d’accélérer la carrière d’artistes méconnus, en leur mettant à disposition une galerie professionnelle, d’abord dans le cadre d’une exposition de groupe pour les nominés du Prix, puis dans le cadre d’une exposition personnelle pour le lauréat du Prix.
Pour aider le lauréat dans la préparation et la création de son exposition personnelle à la galerie, une bourse de 25.000 euros (environ 35.000 dollars canadiens) lui est attribuée par la galerie pour l’édition 2017 du prix. Tous les frais des artistes sont payés par la galerie à l’occasion de leur exposition du Luxembourg Art Prize 2017 (transport et assurance des œuvres, billets d’avion et de train, hébergement en hôtel 4* en pension complète). Il en est de même pour les frais de la personne de leur choix qui les accompagnera au Grand-Duché de Luxembourg. Le Prix s’adresse aux artistes travaillant une ou plusieurs des pratiques suivantes : dessin, gravure, installation, peinture, performances, photographie, pratiques numériques, sculpture, son, vidéo, techniques mixtes, arts décoratifs (textile et matières, verre, bois, métal, céramique, mosaïque, papier ou autres techniques).
Comment déposer sa candidature ?
Les artistes doivent ouvrir un espace Candidat sur le site internet du Luxembourg Art Prize et y remplir leur dossier de candidature en ligne. Tout se fait entièrement depuis le site internet du Luxembourg Art Prize. Aucun dossier ne sera accepté s’il n’est pas rempli en ligne depuis l’espace Candidat personnel de l’artiste. Le candidat peut mettre à jour et compléter son dossier en ligne autant que souhaité jusqu’à la date limite de dépôt des candidatures qui est fixée au 31 mai 2017 à minuit. À lire : La Ville de Rigaud est à la recherche de personnes possédant une expérience en photographie et qui seraient disponibles lors d'événements organisés par la Ville et qui se déroulent normalement certains soirs ainsi qu'en fin de semaine. Le tout serait rémunéré selon les tarifs en vigueur en plus de mentionner le crédit photos.
Si vous êtes intéressé, il vous suffit de faire parvenir quelques exemples de votre travail (photos en basse résolution), en plus de mentionner quels sont vos tarifs (nombre d’heures minimal, tarifs de l’heure, frais de déplacement, etc.)... le tout par courriel à l’adresse suivante : communications@ville.rigaud.qc.ca. On ne peut être animé que d’un grand sentiment de fierté lorsque le travail d’une entreprise de Vaudreuil-Soulanges est non seulement souligné mais également soutenu par le gouvernement du Canada. Ce fut le cas pour les Productions Kinescope, le 23 février dernier à la bibliothèque Marie-Uguay de Notre-Dame-de-l'Île-Perrot, où l’honorable Maryam Monsef, ministre fédérale de la condition féminine, accompagnée de Peter Schiefke, député de Vaudreuil-Soulanges, est venue annoncer que le projet De Nellie à aujourd’hui avait reçu l’aval du ministère du Patrimoine canadien et s’était vu octroyer une subvention de 50 000$ via le Fonds Canada 150 pour sa réalisation. Ce projet vise à parler du quotidien des femmes en politique à tous les niveaux de gouvernement par le biais de capsules vidéo, un domaine dans lequel excelle Kinescope. Natalie Poirier, co-présidente de l’entreprise et initiatrice du projet, y voit l’occasion de donner voix aux femmes dont la route en politique demande nombre de sacrifices : "Ce projet est né d’une préoccupation toute personnelle, avoue la femme d’affaires. Je suis engagée dans ma communauté et un jour, rien ne dit que je ne ferai pas le saut en politique. On dit qu’il y a plusieurs sacrifices à faire, j’ai besoin d’aller voir le vrai, de constater la réalité vécue par ces femmes-là dans leur quotidien. Mais plus que tout, le projet De Nellie à aujourd’hui est un legs que j’aimerais laisser à mes quatre filles et par extension à toutes les jeunes femmes du pays afin que plus de portes leur soient ouvertes." Par la réalisation de vidéos et de rencontres communautaires, De Nellie à aujourd’hui vise à parler de la place des femmes dans l’histoire de la politique canadienne depuis la confédération (dont celle tenue par Nellie McClung (1873-1951). De courts documentaires web donneront la voix aux historiennes et expertes sur le sujet, aux citoyens du pays par l’entremise de micros-trottoirs (vox-pop) et, surtout, aux femmes qui font de la politique en 2017. Pour mener à bien ce projet d’envergure, les Productions Kinescope ont prévu cinq grands rendez-vous au Nunavut, dans l’Ouest canadien, en Ontario, au Québec et dans les Maritimes pour y rencontrer des élues afin de vivre une journée dans leur quotidien. Puisque ce projet les amènera à voyager d’un océan à l’autre et qu’il s’adressera à l’ensemble des citoyens, les Productions Kinescope cherchent l’appui de partenaires connus et représentatifs du pays afin de respecter le budget nécessaire à la réalisation de leur projet. Appuyer De Nellie à aujourd’hui constitue une façon originale de participer aux célébrations entourant le 150e anniversaire de la confédération et de souligner l’apport des femmes d’hier et d’aujourd’hui à l’édification du Canada.
Pour plus d’information ou pour prendre contact avec les Productions Kinescope, vous pouvez le faire via le site internet ou la page Facebook de l’entreprise.
Si l’art m’a toujours intéressé, je dois avouer que j’ai mis quelques années avant de pouvoir l’apprécier sous toutes ses formes et dans la totalité de son expression. Disons que, de l’adolescence et jusqu’à début vingtaine, c’est surtout la peinture qui attirait mon regard et mon attention, mais pas n’importe laquelle… celle des grands maîtres. La précision du trait, l’harmonie des couleurs, le traitement de la lumière et des ombres, l’équilibre d’une composition ou encore la justesse d’une perspective étaient pour moi des critères essentiels, les seuls qui pouvaient guider mes pas vers une exposition, m’inciter à regarder un documentaire ou m’inviter à consulter un livre sur l’art. De la Renaissance à une époque plus contemporaine, je pourrais vous citer une multitude de noms illustres qui ont éveillé ma curiosité et dont j'admire les œuvres, mais celui que je trouvais le plus décevant était sans conteste Picasso.
Inutile de vous dire qu’à cette époque-là l’art abstrait me dépassait littéralement et que je considérais tous les artistes de cette mouvance comme des charlatans. Mais étaient-ce vraiment des artistes? Faire des "taches" de couleur sur une toile qui ne représente rien et prétendre que c'est de l'art en intellectualisant un peu le processus créatif me semblait complètement absurde et surtout trop facile. Certains allaient même jusqu’à prétendre laisser libre cours à l’imagination du spectateur : "je dépose de la peinture sur la toile, je lui laisse le temps de prendre des formes aléatoires que je retravaille pour créer une œuvre que l’imagination de celui qui la regarde pourra interpréter à sa guise". Décryptage : Je crée une merde en espérant que l’imbécile heureux qui va l’acheter y voit du chocolat. De qui se moque-t-on? C’est en tous cas comme ça que je percevais l’art abstrait à cette époque-là et j’ai vite appris à faire la différence entre Art et décoration. Un tableau abstrait pouvait très bien avoir un effet magique au-dessus de ma cheminée, ce n’est pas pour autant que je le considérais comme une œuvre d’art. Ce n’était, et ça ne resterait, qu’un simple objet de décoration.
Un jour (il y a une quarantaine d'années quand même) l’une de mes amies me propose d’aller faire un tour dans une galerie parisienne où l’un de ses artistes préférés exposait. Un peintre abstrait dont je ne me souviens même plus du nom car d’emblée je m’étais programmé pour que cette visite ne laisse aucune trace dans mon cerveau. Bon gré mal gré, je l’ai accompagnée, surtout pour lui faire plaisir, et c’est d’un œil distrait et faussement intéressé que j’ai fait semblant de passer un bon moment. Sauf, qu’au détour d’un couloir de la galerie, j’ai marqué le pas devant un tableau en particulier. Je me suis arrêté malgré moi et j’ai… admiré. Pourquoi ? Je n’en sais strictement rien. Cette toile ne représentait rien, rien que mes yeux ne pouvaient identifier, analyser ou comprendre. Balayant tous les critères qu’étaient les miens, elle est parvenue à traverser tous les filtres imposés par mon regard pour venir parler à mon cœur. J’ai ressenti une émotion devant cette toile que j’aurais pu immédiatement acquérir si j’en avais eu les moyens. En l’achetant, ce n’est pas qu’une œuvre ou une signature que j’aurais achetée, mais aussi et surtout une émotion que j'aurais aimé conserver à jamais. C’est cette capacité de nous émouvoir et de nous faire réfléchir qui fait de l’homme un véritable artiste. Si un musicien est capable de nous inspirer de la tristesse, de la joie, du bonheur ou encore de la nostalgie en quelques notes, l’artiste-peintre, le vrai, peut aussi le faire en quelques traits et quelques touches de couleur. "L’Art est une émotion, pas une sensation" John Cowper Powys
"Il y a des peintres qui transforment le soleil en une tache jaune, mais il y en a d’autres qui, grâce à leur art et à leur intelligence, transforment une tache jaune en soleil" disait Picasso… je ne pouvais trouver meilleure conclusion. Christian Gonzalez
De plus en plus de projets artistiques écoresponsables voient le jour dans notre région et on ne peut que saluer ces initiatives qui se multiplient. Rappelons qu’un projet écoresponsable intègre l’ensemble des principes du développement durable à chaque étape de son organisation, et ce, dès le début de sa planification. En débutant par une analyse de la situation actuelle et l’évaluation des impacts majeurs potentiels, un événement écoresponsable vise donc à réduire les répercussions négatives sur l’environnement et à augmenter les retombées positives sur le plan social et économique. L’artiste Madeleine Turgeon, résidente de Saint-Lazare, touche à de nombreuses disciplines artistiques et réalise régulièrement des projets de recyclage créatif. Sa démarche artistique est toujours parfaitement cohérente avec l’héritage de son baccalauréat en agriculture et la passion qu’elle voue à la protection de l’environnement. Membre exécutif du Comité 21 régional de Vaudreuil-Soulanges et vice-présidente du Conseil des Arts et de la Culture (CACVS), elle aspire à mobiliser les artistes et le milieu culturel sur les enjeux sociétaux et environnementaux. Motivée par des convictions profondes, elle a puisé cette fois son inspiration dans… les bacs bleus. Depuis le mois de juin 2016, Madeleine Turgeon collecte les bouchons en plastique qui abondent dans nos différents déchets recyclables. Dans son atelier baigné de lumière, les caisses de bouchons s’empilent depuis l’été dernier. Ils ont été sauvés in extremis du chemin menant au site d’enfouissement par de nombreuses familles et organismes de Vaudreuil-Soulanges qui ont répondu en grand nombre à son appel. C’est ainsi que le projet "Florilège" a vu le jour… il consiste à réaliser une grande œuvre sculpturale extérieure composée des milliers de bouchons de plastique. Plus d’une vingtaine de tiges d’acier galvanisé qui se chevaucheront sur une sphère de métal composeront la structure de l’œuvre. Chacune de ces tiges sera porteuse d’une multitude de fleurs, aussi ludiques et colorées les unes que les autres. Prototypes pour tester la résistance des matériaux Une œuvre au service du changement social L’artiste se plait à dire qu’une pensée est comme une goutte d’eau dans l'océan… même si elle ne crée qu’une petite ondulation, c’est l'action qui finit par créer des vagues. Le projet qui a pris une ampleur sans précédent, a finalement dépassé toutes ses attentes. Plusieurs participants ont déjà commencé à prendre part à la réalisation de cette œuvre : des enfants de plusieurs CPE écoresponsables qui en profitent pour apprendre les formes et les couleurs en classant et triant les bouchons, puis des citoyens de tous les âges, issus de plusieurs communautés, du monde municipal ou corporatif, s’activent à percer les bouchons et assembler les tiges de métal. Par cette activité ludique relativement simple, les participants entrent en relation les uns avec les autres, échangent et discutent, notamment de… recyclage. Si vous souhaitez participer à l’un de ces ateliers, n’hésitez pas à contacter Madeleine Turgeon via sa page Facebook ou encore par courriel à madeleineturgeonart@gmail.com. Une fois complétée, l’œuvre écoresponsable sera installée au 420, avenue Saint-Charles à Vaudreuil-Dorion, sur le terrain qui se trouve devant les bureaux du Conseil des Arts et de la Culture (CACVS) et du Comité d'action local (CALVS). Ces deux organismes partagent l’édifice patrimonial de la MRC et une même vision du développement durable. L’œuvre sera officiellement dévoilée le samedi 22 avril 2017, Jour de la Terre, lors d’un événement qui sera ponctué de nombreuses animations et de quelques surprises que nous vous dévoilerons sous peu. Peut-être même qu’à l’image de ces arbres que nous voulons protéger, "Florilège" continuera à évoluer, à pousser et à grandir d’année en année… aussi n’hésitez pas à conserver vos bouchons, plusieurs lieux de collecte sont à votre disposition en 2017 :
L’œuvre "Florilège" a été réfléchie et planifiée pour parler de façon poétique de développement durable, d’environnement et de surconsommation. À cet égard, l'auteure et poète Marie-Belle Ouellet prêtera ses mots pour faire réfléchir et encourager les citoyens à se questionner sur leurs habitudes de consommation et les informer sur le concept des 3RV ; Réduire, Réemployer, Recycler et Valoriser leurs déchets. Si pour l’artiste une image vaut 1000 mots, pour la poète un mot vaut 1000 images... Des recherches qui mènent loin Les recherches que l’artiste a effectuées en préparation du projet lui ont permis de comprendre la vie d’un bouchon de plastique, de l’usine de fabrication au chemin menant au centre de tri, puis finalement au site d’enfouissement. Car oui, les bouchons ne sont pas tous recyclés. Les bouchons ne sont pas fabriqués avec le même plastique que les bouteilles. Pour fabriquer bouteilles et bouchons différents types de polymères sont utilisés : le corps de la bouteille est en PET (Polyéthylène Téréphtalate) et les bouchons sont en PEhD (Polyéthylène haute-densité́). Une différence qui les empêche d’être recyclés ensemble et on les retrouve souvent au rebut. La plupart du temps, les bouchons de toutes tailles tombent sous les tables de triage et sont mélangés au verre cassé, ce qui les rend impropres au recyclage. Les recherches de Madeleine Turgeon lui ont permis de constater que sur le plan du recyclage, le Québec avait encore beaucoup de chemin à faire car dans de nombreux pays on est déjà parvenu à mettre en place des processus qui permettent de recycler séparément les différents types de plastique. À ce propos, beaucoup ignorent encore que depuis le 1er janvier 2017 un nouveau centre de tri assure le conditionnement des matières recyclables collectées sur le territoire de la MRC de Vaudreuil-Soulanges. Le contenu de nos bacs bleus trouve maintenant le chemin de Lachute pour se retrouver chez Tricentris, un organisme sans but lucratif qui gère plus du tiers des matières recyclables du Québec pour quelques deux cents municipalités.
Très impliquée dans le milieu, elle a été vice-présidente du Collectif Métiers d’Art Métissés où elle a organisé plus d’une vingtaine d’expositions et d’événements au profit de la relève québécoise et canadienne en métiers d’art. Elle a également été membre du Conseil d’administration du Conseil des métiers d’art du Québec (CMAQ) de 2011 à 2015. Geneviève vient de faire son entrée dans le répertoire des "Talents d'ici". Pour découvrir l'artiste et son travail, visitez l'espace qui lui a été réservé sur le site.
Pendant la semaine de relâche, la Maison Trestler vous recevra pour une visite unique lors d’un après-midi familial qui plaira autant aux petits qu’aux plus grands. Ce sera le mercredi 8 mars, de 13h00 à 16h00, et il y en aura vraiment pour tous les goûts, avec au programme :
La Maison Trestler est située 85, chemin de la Commune à Vaudreuil-Dorion.
Hélène Jasmin, ayant écrit le livre Le Père Émile Legault et ses Compagnons de Saint-Laurent, une petite histoire, publié en 1986, a conçu il y a 20 ans, une exposition au Musée d’art de Saint-Laurent, célébrant le 60e anniversaire de création de cette troupe. Lorraine Pintal, directrice du Théâtre du Nouveau-Monde, en avait même accepté la présidence d’honneur. À l’ouverture, une formidable rencontre réunissait les Huguette Oligny, Hélène Loiselle, Thérèse Cadorette… (et, bien sûr, leurs confrères Jean-Louis Roux, Guy Provost, Gabriel Gascon…).
L’épanouissement de notre théâtre, que ce soit à Montréal, à Québec ou en région, fait une large place aux femmes comédiennes, metteures en scène, directrices artistiques dont un bon nombre seront cités dans cette mosaïque colorée. Le Musée régional de Vaudreuil-Soulanges invite les intéressés à réserver leurs places sans tarder au coût de 10 $ ou de 8 $ pour les membres du Musée, au 450 455-2092. Un rabais est applicable à l’achat des quatre activités de la série, pour un total de 32 $ ou 24 $ pour les membres du Musée. Ce forfait comprend : la visite commentée de l’exposition Clic et déclic par Michel Morissette suivie d’une causerie avec Michel Laquerre, photographe professionnel le 31 mars, L’art de capter... l’Europe, son art, son architecture, sa vitalité!, une conférence de Josiane Farand, photographe professionnelle le 28 avril et Les Soeurs hospitalières et Jeanne Mance, une projection-conférence avec Daniel Bertolino en lien avec son récent documentaire Oser un nouveau monde le 26 mai. Le Musée est situé au 431, avenue Saint-Charles à Vaudreuil-Dorion. |
AuteurChristian Gonzalez Catégories
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