Depuis sa tendre enfance, Gail Descoeurs fut toujours en contact avec une nature qui l’a toujours grandement inspirée. Lorsqu'elle peint dans son atelier, elle reproduit des scènes qu'elle a elle-même photographiées, amalgamées à quelques-uns de ses rêves, de ses souvenirs ou encore de son imagination. Guidée par son cœur et ses états d'âme, elle peint des paysages dramatiques et riches en couleurs qui sont le parfait reflet de sa personnalité, calme et sereine. Gail a emménagé un atelier chez elle, à Rigaud, et consacre désormais tout son temps à la peinture et à l’enseignement de celle-ci. Belle consécration pour l’artiste… le magazine canadien Arabella lui consacre plus d’une quinzaine de pages dans son numéro d’hiver 2015, à consulter en cliquant sur l’image ci-dessous. Arabella, hiver 2015
L’anamorphose, cet "art de la perspective secrète" dont parle Dürer, connaît des applications multiples, aussi bien dans le domaine de l'architecture et du trompe-l'œil (notamment dans le Street Art) que dans des utilisations utilitaires et publicitaires. L’artiste-peintre Stefan Pabst en est d’ailleurs devenu un véritable spécialiste et ses réalisations sont littéralement époustouflantes. Voici, ci-dessous, une autre vidéo tout aussi étonnante. Le phénomène de perspective déformée a été utilisé pour reproduire une image avec un résultat qui remet à coup sûr notre sens de la vision en question et notamment l’interprétation de ce que nous voyons.
Je vous parle souvent de nos Talents d’ici et très régulièrement je vous en présente de nouveaux. Mais saviez-vous qu’en cette période de fin d’année, les œuvres de certains d’entre eux, quelques-uns de leurs personnages, ont eu envie de prendre la parole… C’est fou non? Sauriez-vous en reconnaître les auteurs?
Artiste autodidacte, elle dessine et peint toutes sortes de choses, avec toutes sortes de mediums et sur toutes sortes de supports… Agnès Robin est une passionnée par l’art dont le seul objectif et d’avoir du plaisir en créant des œuvres qui nous feront sourire et peut-être même aussi… réfléchir. Elle réside à Terrasse-Vaudreuil et vient de rejoindre les "Talents d’ici". En visitant sa page, vous aurez un aperçu de son travail et découvrirez une artiste aussi créative que sympathique. Bienvenue Agnès !
La gare de Dorion comme point de départ de toutes sortes d’événements qui ponctuent notre vie. On y retrouve des personnes qui se dirigent chez le notaire, une petite famille qui va acquérir sa première maison, des gens d’affaires qui rejoignent leur travail, des mariés, un prêtre, des personnes âgées, un couple de divorcés qui se tournent le dos… Cette œuvre superbe, baptisée Destination sécuritaire, est une réalisation en médiums mixtes et collage de l’artiste-peintre Gisèle Lapalme. Créativité, originalité et maîtrise des couleurs... c'est vraiment du grand art et c'est signé par un Talent d'ici !
C’est en présence de Denis Lapointe, maire de Salaberry-de-Valleyfield, qu’a eu lieu le 17 décembre dernier, au Chalet du Parc Sauvé, le lancement officiel du livre de Roland Viau, Amerindia. Essais d'ethnohistoire autochtone. Le public était venu nombreux pour assister à cette très belle soirée et si l’auteur s’est généreusement prêté à la traditionnelle séance de dédicaces, il a aussi pris le temps de répondre longuement, très clairement et de manière très documentés aux différentes questions qui lui ont été posées. Rappelons que Roland Viau est chercheur-enseignant au Département d’anthropologie de l’Université de Montréal et qu’il a publié, entre autres choses, cinq essais anthropologiques et historiques, dont Enfants du néant et mangeurs d’âmes, Prix du Gouverneur général, et Du pain et du sang. Les travailleurs irlandais et le canal Beauharnois, paru au PUM en 2013. Il a également contribué à la réalisation de l'ouvrage collectif Histoire de Montréal et de sa région, paru en 2012. Dans Amerindia. Essais d'ethnohistoire autochtone, Roland Viau s’exprime sur la rencontre entre l’Europe et l’Amerindia en donnant la parole à l’Autre. Sa perspective est globale, proche de la world history - symbiose entre les disciplines de la mémoire : ethnologie, histoire et archéologie - et loin de la vision d’un monde façonné par le seul Occident. Sans poursuivre le procès d’intention fait aux colonisateurs de l’Amérique du Nord, l’auteur dresse un portrait saisissant des Autochtones à travers le récit de leurs traditions orales, leurs cosmologies et leurs mythes. Il nous invite à penser le monde dans sa longue durée et dans la compréhension des relations souvent conflictuelles entre les sociétés dominantes du Nord et les nations encore globalement dominées du Sud. L’artiste-peintre professionnelle Diane St-Georges était également présente lors de cette soirée et les murs du Chalet du Parc Sauvé étaient illuminés par une quinzaine de ses œuvres inspirées de ses racines amérindiennes. Des créations qui reflètent l'âme des peuples autochtones et qui traitent de thèmes comme la spiritualité ou encore le respect de la nature. Ce fut un lancement aussi convivial qu'instructif et riche en couleurs.
C’est dans la bonne humeur que s’est tenu le 16 décembre dernier le vernissage de l’exposition des élèves d’Isabelle Turcotte. Marc Roy, le maire de l’Île-Perrot, n’a pas manqué de souligner toute la sympathie et l’admiration qu’il avait pour cette artiste qui est aussi manifestement très appréciée par ses élèves. Certains d’entre eux exposaient pour la première fois et tous ont unanimement salué le talent de leur professeur et le plaisir qu’ils avaient à apprendre et à progresser avec Isabelle. Cette exposition des élèves d’Isabelle Turcotte est uniquement consacrée à la peinture. Elle se déroulera jusqu’au 9 janvier 2016 et sera suivie par celle exclusivement réservée au dessin… Vous êtes attendus au vernissage qui aura lieu le 14 janvier prochain à la bibliothèque Guy-Godin, 120 boulevard Perrot, à l’Île-Perrot.
Le 22 novembre dernier, le Musée de société des Deux-Rives soulignait 35 ans d'engagement culturel dans la région. Fondé en 1980, le Musée a réalisé depuis, près de 200 expositions et une centaine d'activités culturelles dont l’objectif était de faire découvrir l'art, l'histoire et le patrimoine régional à la population. Pendant près de 30 ans, le Musée a œuvré et maintenu ses activités, grâce au soutien inconditionnel de bénévoles et de gens impliqués dans le milieu et en divers endroits de la ville de Salaberry-de-Valleyfield. Lors de cette rencontre qui regroupait une quarantaine de personnes d'action du Musée, la direction générale et le conseil d'administration actuel ont tenu à rendre hommage particulièrement à l’une de ses fondatrices, Madame Yolande B-Latour (photo ci-contre). Elle fut la pionnière et l'âme de l’institution et a œuvré pour l'organisation de 1980 à 1998. Une salle portera désormais son nom. Lors de cette soirée retrouvailles, la ville de Salaberry-de-Valleyfield, en présence du maire Denis Lapointe, a également rendu hommages aux bénévoles du Musée en remettant une plaque commémorative pour saluer leur engagement. Un peu d’histoire
Le Musée de société des Deux-Rives (MUSO) a vu le jour en 1980 grâce à l’implication de nombreux bénévoles. Le musée s’appelait alors l’Écomusée des Deux-Rives et il pouvait être qualifié d’itinérant puisque, ne profitant d’aucun lieu permanent, les expositions et activités étaient présentées à l'époque dans différents lieux et de façon saisonnière. C’est en 2004, à la suite d’un processus de restructuration en vue de l’établissement d’un lieu permanent, que l’Écomusée est devenu le Musée de société des Deux-Rives. L’objectif porteur était de doter la région d’un emplacement muséal et culturel permanent. En 2008, la Ville de Salaberry-de-Valleyfield s’est portée acquéreur d’une ancienne église protestante, érigée en 1882 au centre-ville. Pour répondre aux exigences d’une installation adéquate du musée, la bâtisse a subi, pendant deux années, d’importants travaux d’aménagement. C’est finalement en 2010 que le Musée de société des Deux-Rives a pu emménager dans cette église. Il s’agit d’un véritable joyau patrimonial, dont les éléments architecturaux et décoratifs ont été conservés, ajoutant au potentiel muséologique et patrimonial du MUSO. Le musée a ouvert les portes de son lieu permanent officiellement en octobre 2011. Monica Brinkman animera l'atelier de mosaïque mixte le 12 février prochian Le dernier atelier d’art pour la clientèle adulte, animé le 11 décembre dernier par l’artiste Céline Poirier au Musée régional de Vaudreuil-Soulanges fut unanimement salué par tous les participants. Le succès remporté par ces ateliers ne pouvait qu’inciter le musée à poursuivre en 2016 en abordant des techniques différentes avec des artistes dont la réputation n’est plus à faire dans leurs domaines respectifs.
C’est l’artiste multidisciplinaire Monica Brinkman qui ouvrira le bal en 2016 avec un atelier de mosaïque mixte qui aura lieu le vendredi 12 février à 13h30. Le coût de participation est de 20$ par personne, incluant matériaux et collation. Ces ateliers étant devenus très populaires et le nombre de places étant limité, il est vivement recommandé de réserver rapidement la vôtre en composant le 450 455-2092. Le Musée prévoit pour l'instant un atelier différent chaque mois et les prochains seront animés, entre autres, par une artiste de la relève, mais aussi par Gisèle Lapalme (aquarelle) et par Lorraine Bouchard (création de bijoux en émail sur cuivre). Plus de détails prochainement…
Céline Poirier est une artiste aux multiples talents, qui maîtrise une myriade de techniques artistiques. Harmonisant créativité et originalité, son inspiration illumine les murs d’écoles, de commerces et de maisons privées puisqu’elle conçoit également de magnifiques murales.
Peinture ou collage… portraits, paysages ou murales… Céline Poirier a eu la bonne idée de nous livrer un concentré de son savoir-faire au travers d’un montage vidéo qui illustre bien l’ensemble des techniques qu’elle affectionne et qu'elle aime partager avec ses élèves lors de ses nombreux ateliers. J’ai même eu la surprise et le plaisir de m’y retrouver puisque Céline a eu, il y a quelques mois, la gentillesse de réaliser mon portrait d’après une photo prise par Daniel Bouguerra. Merci et bravo l’artiste ! |
AuteurChristian Gonzalez Catégories
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