Il n’est jamais trop tôt pour initier son enfant à l’art et même pour lui faire découvrir certaines techniques propres aux arts visuels et notamment à la peinture. C’est la raison pour laquelle la boutique Hachem de Vaudreuil-Dorion vous propose un atelier de découverte et d’initiation à l’acrylique, spécialement destiné aux enfants de 5 à 8 ans. Cet atelier sera donné le dimanche 2 avril, de 10h30 à 13h00 par l’artiste Lise Roy. D’une durée de 2h30 il représente une activité parfaite pour un enfant seul ou accompagné d’un parent. Dans cet atelier les enfants pourront découvrir le cercle chromatique afin de créer les couleurs qui seront utilisées par la suite pour réaliser une petite œuvre de leur choix. Ils pourront utiliser une multitude de stencils afin de créer leur œuvre personnalisée. Le coût de participation à cet atelier est de 35$ par enfant (60$ pour deux enfants ou un enfant avec un parent). Tout le matériel nécessaire est bien entendu inclus! Un cours pour les plus de 9 ans et pour les adultes sera également offert aux mêmes conditions, l’après-midi de 13h30 à 16h00. Pour toute information complémentaire ou pour vous inscrire, vous pouvez composer le 514 602-2721 ou envoyer un message à productionslr@hotmail.com. Le nombre de place est limité à 12 personnes par session. À propos de Lise Roy
De nature énergique et extravertie, c’est tout à fait par hasard qu’elle découvre en 2008 que l’art et plus précisément la peinture. L’expérimentation de divers médiums ont fait partie de sa découverte d’expression. Après avoir longuement pratiqué le fusain, l’encre, la peinture à l’huile et l’acrylique, c’est finalement cette dernière qu’elle privilégie maintenant. Grande curieuse, elle aime texturer ses toiles avec un peu tout ce qui lui passe sous la main. Comme elle adore partager sa passion pour la création, Lise Roy anime avec beaucoup de plaisir, depuis deux ans maintenant, des activités parascolaires et des sessions de dessins et de caricature dans les écoles primaires de la Montérégie. Dans mon dernier article, Prière de ne pas lancer de tomates, je vous exposais les grandes lignes du statut professionnel des artistes et des deux lois qui l’encadrent. Dans cette chronique et la suivante, j’aborderai plus en détail les composantes de ces lois. En d’autres mots, je souhaite démystifier les sous-entendus dans l’application des critères lors de l’évaluation d’un statut professionnel. Merci de noter que ce texte ne constitue pas un avis juridique. Mon interprétation est subjective et découle de mes observations. Je commence par la loi qui me semble la plus complexe : Loi sur le statut professionnel des artistes des arts visuels, des métiers d'art et de la littérature et sur leurs contrats avec les diffuseurs (loi S-32.01) Les deux principaux objectifs de la loi sont de préciser les conditions relatives à l'obtention du statut d'artiste professionnel et de définir un cadre contractuel dans les rapports entre les artistes et les diffuseurs. La loi, par le biais du Tribunal administratif du travail (TAT), reconnaît une seule association d’artistes comme mandataire de l’application de la loi par secteur d’activité. L’association représente ses membres et défend leur intérêt. Elle est aussi la seule à avoir la possibilité de négocier des ententes collectives sur des conditions minimales de diffusion. Liste des associations reconnues. Sans plus attendre…les deux premiers critères de la loi sont les plus simples : 1° il se déclare artiste professionnel; Se déclarer artiste professionnel signifie de se faire reconnaître comme travailleur autonome sur ses impôts et de respecter les mesures fiscales qui s’y rattachent. 2° il crée des œuvres pour son propre compte; "Créer des œuvres pour son propre compte" est la formulation qui précise qu’en tant qu’artiste, vous recevez une rémunération grâce à la vente de votre art. Vous n’avez pas un employeur, vous n’êtes donc pas un salarié. Et puis, ça se complique... À partir d’ici, la situation se complique un tantinet. Je vous exposerai les exigences selon les trois disciplines artistiques qui se rapportent à cette loi. 3° ses œuvres sont exposées, produites, publiées, représentées en public ou mises en marché par un diffuseur; L’information manquante à la lecture du critère précédent, et qui n’est pas écrit noir sur blanc, c’est que l’exposition, la production, la publication, ou la représentation des œuvres doivent s’exercer dans un contexte professionnel. Pour vous aider à mieux saisir les conditions relatives au contexte professionnel, voici quelques éléments à considérer lorsque vous déposez votre dossier chez un diffuseur potentiel. Le contexte est considéré comme professionnel lorsque le diffuseur respecte les conditions suivantes :
Pour obtenir son statut professionnel en littérature, l’auteur doit avoir deux publications chez des éditeurs reconnus. Comme pour les autres disciplines, une maison d’édition reconnue est un éditeur subventionné pour ses activités liées aux arts et aux lettres. 4° il a reçu de ses pairs des témoignages de reconnaissance comme professionnel, par une mention d'honneur, une récompense, un prix, une bourse, une nomination à un jury, la sélection à un salon ou tout autre moyen de même nature. Ce fameux quatrième critère, et non le moindre, diffère légèrement d’une discipline à l’autre. Le fait d’être boursier du CALQ ou du CAC et également, du Conseil des arts de Montréal (CAM), et du Conseil des arts de Longueuil (CAL), consiste en une reconnaissance professionnelle, peu importe la discipline.
J’en suis consciente, la lecture de ce texte explicatif sur la loi peut vous avoir fait décrocher… Si vous lisez ces dernières lignes, vous avez survécu aux 900 derniers mots! Au final, vous avez un seul élément à retenir : n’hésitez pas à faire évaluer votre dossier par l’association qui vous représente. Le cumul de vos diverses expériences vous aura peut-être conduit directement à la porte d’entrée, sans même que vous l’ayez réalisé. Dans mon prochain article, je vous présente la loi jumelle, pas si jumelle!, la S32.1. Vous découvrirez une différence majeure qui n’a rien de banal. À suivre... Photo de Sabrina Brochu : Daniel Bouguerra
La Ville de Pincourt vous rappelle qu’il ne reste plus qu’un petit mois pour répondre à l’appel lancé afin que vous puissiez proposer vos projets pour animer la communauté. C’est l’occasion ou jamais de présenter des idées originales et rassembleuses.
En quoi consiste l’appel de projets ? Il s’agit d’un fonds de 10 000 $ dédié aux citoyens et organismes desservant Pincourt. Vous avez un projet en tête pour votre communauté ? Et bien la Ville pourrait vous accompagner pour le réaliser. Le projet présenté doit être en lien avec la mission du Plan de Développement Social, c’est-à-dire d’impliquer davantage les gens, de créer des projets rassembleurs et de favoriser la qualité de vie et l’épanouissement des citoyens de tous âges et toutes conditions. Comment participer? Pour faire parvenir votre candidature, rendez-vous sur le site Web de la Ville de Pincourt sur la page Appel de projets. Le formulaire est disponible en version PDF interactif. La date limite pour soumettre votre projet est fixée au 21 avril. Pour information complémentaire vous pouvez prendre contact avec Célia Corriveau, chef de division au Développement social et culturel, en l’appelant au 514 453-8981, poste 273 ou en lui envoyant un message : c.corriveau@villepincourt.qc.ca.
Photo : Caroline Forget
Brume, brouillard et blizzard… sous l'oeil d'un amateur de photo argentique Bien qu’adepte des appareils photo numériques, Robert Warren reste un passionné de photo argentique. Un intérêt qui lui procure autant de plaisir à prendre des photos qu’à développer les films comme on le faisait autrefois. Il s’est rendu compte avec le temps que la photo argentique exigeait une concentration et une forme de lenteur qui convenaient parfaitement au style de photo qu’il pratique: les paysages. "Avec les appareils argentiques, je peux affronter des conditions météo que n’oserais pas braver avec mon appareil numérique" dit-il. Conscient que depuis l’avènement du numérique de moins en moins de personnes n’ont l’occasion de voir des photos prises et développées selon le procédé argentique, Robert Warren a accepté d’en exposer treize de sa collection au Cafexo de Vaudreuil-Dorion dès le mois d'avril. Toutes les photos présentées ont été réalisées en argentique, avec des films noir et blanc ou couleur. Elles ont été prises dans des situations météo de brume, brouillard ou blizzard, la plupart du temps à Vaudreuil-Dorion ou dans la région. La magie de ces photos ne s'exprime pas sur un écran d'ordinateur... passez donc savourer un délicieux petit cappuccino au Cafexo, 358 avenue Saint-Charles à Vaudreuil-Dorion!
Robert Warren est membre du Club photo Vaudreuil-Dorion. Découvrez l’histoire inspirante derrière le projet Je suis… Il y a quelques mois, la Ville de Vaudreuil-Dorion remportait, face à 83 villes venues des quatre coins de la planète, le Prix international CGLU - Ville de Mexico - Culture 21 pour le projet Je suis… Ce prix a pour objectif de récompenser les villes et les personnalités leaders qui se sont fait remarquer par leur contribution à la culture. Plus récemment, le projet Je suis… était à l’honneur dans l’excellente émission Banc public, animée par Guylaine Tremblay sur Télé-Québec. Créé en 2010, Je suis… a permis à la Ville de Vaudreuil-Dorion d’offrir à sa population un projet unique de développement de la communauté par la culture. Malgré toute la lumière faite sur ce projet et probablement aussi parce que la ville de Vaudreuil-Dorion ne cesse de se développer et d’accueillir de nouveaux résidents, tous n’en ont peut-être pas encore vraiment appréhendé la portée et les bénéfices. Qu’à cela ne tienne ! La Chambre de commerce et d'industrie de Vaudreuil-Soulanges invite la population à une conférence de Michel Vallée, Directeur du Service des loisirs et de la culture de la Ville de Vaudreuil-Dorion. Présentée par Desjardins, Vaudreuil-Soulanges, la conférence de Michel Vallée, permettra de découvrir l'histoire inspirante derrière le projet Je suis... pour une ville, pour la culture et pour la communauté. Un conférencier de choix, puisque Michel Vallée est lui-même à l’origine de ce projet! La conférence se tiendra le 28 mars, de 12h00 à 13h30 au Club de Golf Whitlock à Hudson. Le coût de participation est de 65$ (50$ pour les membres CCIVS et 40$ pour les membres CCIVS et Desjardins). Pour plus d'information ou pour réserver votre place vous pouvez communiquer par courriel à info@ccivs.ca, par téléphone au 450 424-6886 ou sur le site www.ccivs.ca. Photos : Christian Gonzalez
Pour souligner cette nouveauté et vous accompagner dans la découverte de l’univers du thé, une série de cours spécialement conçus pour vous vous seront proposés dès l’ouverture. Une belle occasion de vivre une expérience unique dans la magnifique salle de l'ancien bureau de poste de Rigaud et de profiter de la superbe terrasse au bord de l'eau. L'origine du thé - Lundi 1er mai, de 15h à 17h ou de 18h à 20h Cours sur l'histoire et la voie du thé en Amérique du Nord. Venez découvrir le thé, de son origine jusqu’à nos jours ainsi que son histoire aussi riche que tumultueuse autant sur le continent chinois qu'en Europe et en Amérique. La culture du thé dans différents pays - Lundi 8 mai de 15h à 17h ou de 18h à 20h Des grands maîtres de cérémonie du thé asiatique, du samovar russe à la fine porcelaine britannique, le chaï indien et le thé marocain, chaque pays a développé sa propre culture entourant le thé et son service. Les thés asiatiques - Lundi 15 mai de 15h à 17h ou de 18h à 20h Venez apprendre les bienfaits des thés asiatiques mais aussi découvrir un mode de vie qui va bien au-delà de la simple consommation quotidienne du thé. Le thé chai (épices) - Lundi 22 mai de 15h à 17h ou de 18h à 20h Namasté et les thés de l'Inde. Découvrez des thés indiens où les arômes épicés des chais indiens se marient avec les Assam, Darjeeling et Nilgiris. Les thés tout en douceur; le thé blanc versus le rooibos - Lundi 29 mai de 15h à 17h ou de 18h à 20h Une voie peu connue qui reste encore à explorer, le thé blancs et ses riches antioxydants ainsi que le rooibos, une solution sans théine mais néanmoins aussi bénéfique que certains thés. Les mythes et légendes urbaines; le romantisme versus les faits - Lundi 5 juin de 15h à 17h ou de 18h à 20h De ces contrées exotiques lointaines et presqu'inaccessibles pour biens des gens, le thé a souvent été affublé de toutes sortes de légendes et de mythes persistant jusqu'à nos jours. Ce romantisme a favorisé la consommation du thé en Occident, mais qu'en est-il vraiment?
Photos : Bernard Bourbonnais La série des Matinées art de vivre 2017 du Musée régional de Vaudreuil-Soulanges se poursuit avec une activité en lien avec l'exposition Clic et déclic - La photographie avant l'ère du numérique. Elle se déroulera en deux volets. En première partie, les participants auront la chance de voir l’exposition à travers les yeux de son concepteur Michel Morissette, responsable des expositions ethno-historiques du Musée. Grâce aux différents appareils photographiques de la collection du Musée et de nombreuses photos d'archives, ils réaliseront à quel point cette technologie s’est transformée et a évolué rapidement. Par la suite, le photographe professionnel Michel Laquerre, ayant tenu un studio à Vaudreuil-Dorion de 1971 à 1987, témoignera de cette évolution lors d'une conférence remplie de souvenirs et d'anecdotes. Il racontera avec passion les faits marquants de sa carrière en photographie et la réalité de ce métier à l’époque.
Les personnes souhaitant participer à cette Matinée art de vivre, qui se tiendra le vendredi 31 mars à 13h30, sont invitées à réserver leur place dès maintenant au 450 455-2092. Le coût est de 10 $ (8 $ pour les membres du Musée). Photo de Michel Laquerre : Autoportrait réalisé avec une caméra Linhof
Les ouvrages d’ébénisterie marquent le paysage de la production architecturale depuis des siècles. Le travail du bois remonte à la nuit de temps et dès l’Antiquité ont commença à codifier les différents types d’assemblages de bois utilisés dans les travaux de boiseries faisant partie prenante des bâtiments. Les Égyptiens montrèrent une grande habileté dans l'emploi des dorures, des peintures, des incrustations et de la marqueterie. Au Moyen-Âge on codifie les différentes spécialités. Au départ le métier de charpentier définie tous les métiers du travail du bois qui participent à la construction des cathédrales, des forteresses et des maisons en réalisant les charpentes, les moules de voûtes ainsi que les échafaudages et les appareils de levage: grues, roues, treuil, etc. Il s’agit du charpentier de la grande cognée, la cognée était une hache au long manche qu’utilisaient les bucherons et les charpentiers. Par opposition le charpentier de la petite cognée se spécialisait dans les ouvrages de bois de plus petites tailles. D’où l’appellation de menuisier (minutiare, rendre menu). Dans la construction des bâtiments le menuisier voyait donc la fabrication des plus petits ouvrages de bois tels les cadres, portes, placards et mobiliers intégrés à la construction. Par définition l’ébénisterie est la partie de la menuisier qui fabrique des meubles de luxe en utilisant notamment la technique du plaquage. L'ébéniste était donc l'artisan du bois qui travaillait l'ébène en appliqué comme élément d’ornementation sur les structures de bois massif (meubles, parements de murs et de plafonds). Se sont ajoutées les techniques de la marqueterie, le l’incrustation et de la sculpture. Il y avait donc les meubles et autres ouvrages d’architecture de bois massifs par opposition aux ouvrages plus sophistiqués ou l’ornementation prenait une place plus considérable. C’est pour cela qu’on crut bon d’apporter une clarification concernant la vocation de ces deux spécialités en précisant que la profession de menuisier est une profession de nécessité, tandis que celle de l'ébéniste est un art de luxe. Le terme de "menuisier en ébène" est mentionné pour la première fois en 1608 dans les statuts corporatifs parisiens. Le mot ébénisterie apparaît dans le dictionnaire de l’Académie Française en 1732. Un statut corporatif définit la spécialité d’ébéniste comme une des branches de la profession de menuisier. Plus tard les travaux de restauration et réhabilitation des ouvrages ont été inclus dans le champ d’expertise des ébénistes.
L’ébénisterie était désormais confiée aux architectes qui en faisaient la planification dès la conception des bâtiments (mobiliers intégrés, murs et plafonds lambrissés), les ébénistes en devinrent les exécutants discrets. Les designs se sont transformés au fil du temps, sous l’influence de la conquête britannique, de la constitution du Canada puis de l’attraction des États-Unis au niveau du commerce continental. L’ébénisterie est donc tout comme l’architecture un indicateur des transformations sociales et politiques qui ont façonnées l’histoire du Québec.
L’ébénisterie commerciale dans son ensemble est de nos jours assez loin de la description traditionnelle présentée en début de propos. Les contraintes économiques font que les travaux de plaquage, marqueterie, incrustation er sculpture sont devenus l’activité d’une minorité d’artisans en Amérique, alors que la restauration de mobilier traditionnel occupe encore un grand nombre parmi eux en Europe. Au sens strict la majorité des ébénistes répondent d’avantage à la définition de menuisiers de meubles, ou alors faudrait-il rafraîchir la définition de la profession afin de la rendre plus actuelle. Les modes et tendances actuelles semblent abonder dans ce sens lorsqu’on observe ce qui se produit dans la majorité des entreprises d’ébénisterie (production de masse de meubles en mélamine). Les restrictions monétaires et la compétition des marchés asiatiques forcent au dépouillement et à la simplicité, qu’il s’agisse de projets modestes ou de plus grande envergure. Le design se fait sobre, sommaire, dépouillé Heureusement de plus en plus d’artisans ébénistes s’affichent comme des créateurs engagés dans une démarche de réflexion ayant pour objectif la réalisation d’œuvres uniques et originales. La recherche et la créativité sont à l’honneur, on sent un besoin urgent de rendre à la profession ses lettres de noblesse et faire contrepoids à une industrie qui a perdu la trace de ses origines et de son âme. Ces ébénistes ne sont plus les discrets exécutants des créations de designers et d’architectes, ils participent souvent à la création en étroite collaboration ou en sont eux-mêmes les concepteurs en rapport direct avec la clientèle. Ils redeviennent les pionniers qu’ils furent quelques siècles plus tôt, la roue tourne. L’ébénisterie actuelle est donc constituée de joueurs se situant aux extrêmes du spectre, tant du point de vue de la production que de celui de la création. L’architecture contemporaine véhicule dans ses réalisations cette recherche d’identité et cette quête d’identité. À l’image de l’ensemble de la société, l’activité humaine est en mutation dans cette spécialité comme dans bien d’autres secteurs. Espérons que le meilleur soit à venir, touchons du bois…
Photo de Pierre Laurin : Daniel Bouguerra
C’est sous l’initiative de Johanne Guindon Brin, déjà propriétaire de la boutique d’antiquités. de cadeaux et d'accessoires décoratifs A’s (Secondemain) située sur la rue Main à Hudson, qu’une toute nouvelle galerie d’art ouvrira ses portes le 1er avril prochain.
En effet, la Galerie de Madame Guindon, adjacente à sa boutique située au 524 rue Main, présentera les œuvres originales de neuf artistes de la région et des environs dont elle-même : Bed-Art, Cathy Cayer Daigle, Manon Fraser, Robin Grinnel, Lynn Hartwell, Judith Harvey, Ginette Parizeau et Jacinthe Rivard. Qu'ils privilégient le figuratif ou l'abstrait, ces artistes y exposeront leurs oeuvres les plus récentes, dans toute une variété de médiums et une palette de couleurs qui ne pourront qu'attirer l'attention des collectionneurs et des amateurs d'art. L’ouverture de la Galerie sera précédée d’un vernissage ouvert au public, qui se tiendra en présence des artistes, le 31 mars prochain de 17h00 à 20h00 au 524, rue Main à Hudson. L'entrée est gratuite. Par la suite, la galerie sera ouverte du mercredi au vendredi de 12h00 à 16h00 et le samedi de 10h30 à 17h00 et ce, dès le 1er avril prochain. Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter Johanne Guindon Brin au 514 501-1729 ou lui envoyer un message à jgbartiste@gmail.com. |
AuteurChristian Gonzalez Catégories
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