Critères :
Pour proposer votre projet : Envoyer un courriel dans lequel vous présenterez les grandes lignes de votre idée, le coût total et un calendrier de réalisation, à Michael O’Cain, chargé de projet en conciliation études-travail, à l’adresse : mocain@cjevs.org. La date limite de dépôt est fixée au 26 mai 2017. Le candidat doit obligatoirement résider sur le territoire de Vaudreuil-Soulanges. Le budget est de 500$ et l’œuvre devra être livrée au plus tard le 23 juin 2017. Suivez le Carrefour jeunesse-emploi Vaudreuil-Soulanges sur sa page Facebook. Créé en 2003 à Vaudreuil-Dorion, l’ensemble vocal Chants de coton fait la promotion de la diversité et de l’accessibilité du chant choral dans notre communauté en mettant, plus précisément de l’avant les chants negro-spiritual, typique du sud des États-Unis. Une "spécialité" qui ne l’empêche pas d’explorer également le chant populaire et le répertoire des pièces folkloriques internationales. Dirigé par David Lapierre, pianiste et musicologue de formation, le chœur Chants de coton était l’un des 42 chœurs du Québec ayant participé en 2014 au concert de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) au Stade olympique, sous la direction de Kent Nagano. Le concert de fin de saison du chœur Chants de coton se tiendra le 11 juin prochain, à 14h30, à l'Opti-Centre St-Jean-Baptiste de Vaudreuil-Dorion. Les billets seront en vente à la porte, au prix de 20$. Pour toute information complémentaire, vous pouvez envoyer un message à choeurchantsdecoton@gmail.com ou consulter la page Facebook du chœur.
Pour avoir le plaisir de parcourir de nombreuses expositions et d’assister à maints vernissages, j’avoue avoir un petit faible pour les expositions collectives qui me permettent de mesurer l’étendue du talent de nos nombreux artistes mais aussi de poser un regard sur une multitude de techniques et de sensibilités. Ce fut le cas encore récemment avec l’exposition "Entre-Nous", qui est tous les ans organisée par la Maison Trestler de Vaudreuil-Dorion. Si je mentionne particulièrement celle-ci c’est surtout parce que c’est l’une des expositions qui regroupe le plus grand nombre d’artistes. Ils sont quelque quatre-vingts à y participer chaque année et, comme c’est toujours le cas lors de n’importe quelle exposition collective, les femmes artistes sont non seulement omniprésentes, mais elles sont très largement, mais très largement majoritaires. Pourquoi ? Je me suis souvent poser la question… Ont-elles plus de temps que les hommes? Ont-elles plus de talent? Sont-elles plus inspirées? Plus productives? Les artistes masculins seraient-ils moins enclin à exposer leur travail? Je n’en sais strictement rien et aucune des réponses que l’on pourrait apporter à ces questions ne me satisferait. Je me contenterai donc d’en faire l’agréable constat car voilà au moins un domaine dans lequel les femmes ne sont pas sous-représentées. Pourtant, ce ne fut pas toujours le cas et rares sont les femmes qui purent, avant la seconde moitié du XXe siècle, s'affirmer dans ce domaine, accéder à une reconnaissance et surtout au statut de créatrice, de "femme artiste", même si quelques exceptions existent notamment au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle, où, en Europe, apparaissent de fortes personnalités que l'histoire de l'art a très tôt reconnu comme telles. Femmes artistes depuis la nuit des temps Même si dès l'Antiquité, les femmes étaient associées à la production d'objets artistiques et à de nombreuses disciplines dites classiques comme la peinture, la sculpture, la gravure, ou l’architecture, elles sont restées plus ou moins marginalisées ou peu considérées. Au Moyen Âge, les femmes avaient l'habitude d'œuvrer aux côtés des hommes : l'enluminure, la broderie, ou les lettrines sont des exemples courants de la production artistique féminine de l'époque. Bien que quelques noms d'artistes percèrent au cours de cette époque, la très vaste majorité femmes, notamment des enlumineuses reste inconnue. À cette époque-là, comme pendant la Renaissance d’ailleurs, de nombreuses femmes artistes travaillaient dans des ateliers sous la direction d'hommes qui étaient souvent leur propre père ou leur frère. Les productions des ateliers étaient signées par le maître, pour signifier une qualité de la production, et non pour individualiser l'œuvre : il est donc difficile de différencier les productions des différents artistes d'un même atelier. Malgré cet anonymat, des artistes laïques obtinrent pour la première fois une renommée internationale au cours de la Renaissance. Les bouleversements culturels, comme l'humanisme, peuvent sans doute expliquer cet essor des femmes artistes. Cependant, la laïcité comme foyer de l'émancipation par les arts n'était pas la règle : le voile, la retraite monastique, permit encore longtemps aux femmes d'échapper à la servitude du mariage et de s'épanouir malgré tout en tant que créatrice entre les murs… mais le long chemin vers l’émancipation semblait se dessiner, d’autant que le Livre du courtisan de Baldassare Castiglione, imprimé à Venise en 1508 fut extrêmement populaire en recommandant notamment d'éduquer les jeunes filles aux arts et aux lettres. Mise à part le cas de la mystique Caterina dei Vigri (dite Catherine de Bologne), qui semble unique, apparaissent en Italie, un siècle plus tard, au milieu du XVIe siècle, un nombre important de femmes artistes peintres, issues de différentes écoles ou ateliers, mais qui n'accèdrent jamais au statut de "maître" car elles devaient se cantonner à des sujets bien précis : le nu leur était interdit et toute représentation de la violence était mal vue. Cependant, au sein de l'école romaine on vit s’épanouir Lavinia Fontana qui fut très appréciée des papes Grégoire XIII et Clément VIII ou encore la maniériste Sofonisba Anguissola, qui devint peintre officiel de la cour d’Espagne. Dans le sillage des mouvements féministes
Pourquoi n'y a-t-il pas de grandes femmes artistes ?
C’est vrai qu’aujourd’hui les femmes sont très largement représentées dans toutes les disciplines des Arts visuels, de la peinture à la sculpture, en passant par le "street art", la mosaïque ou encore la céramique. Pourtant, malgré cette reconnaissance gagnée depuis un siècle et bien qu’omniprésentes dans toutes les sphères de la représentation artistique, elles le sont beaucoup moins au tableau d’honneur des ventes.
Les résultats des ventes aux enchères représentent toujours un bon indicateur de la santé du marché de l’art. En consultant le Top 100 des résultats de ventes 2016, mis en ligne par Artprice, on constate que seules 4 femmes y sont présentes et plutôt dans le bas du tableau : Georgia O’Keeffe à la 62ème place, Agnes Martin à la 76ème, Joan Mitchell à la 86ème et enfin Jenny Saville à la 96ème… Si l’art n’a plus de sexe en 2017, le marché de l’art serait-il toujours sexiste ? La question reste posée… Photo : Christian Gonzalez Lors de la conférence de presse organisée le mardi 16 mai, Marie-Pierre D’Anjou, directrice générale, accompagnée de Pierre Séguin, président de la Société de développement du Parc historique de la Pointe-du-Moulin, a annoncé la programmation estivale du Parc historique de la Pointe-du-Moulin, dont le coup d’envoi sera donné le 20 mai prochain. Au programme, la plantation du jardin amérindien et celui de la Nouvelle-France, si la météo le permet. La Pointe-du-Moulin offrira encore cette année une gamme d'activités originales en lien avec l'histoire et la splendeur de son site et des événements inspirants tout en continuant à s'investir dans sa communauté. Certains événements incontournables ont fait leur place dans la programmation. C'est le cas notamment de la Fête de la Pêche le 4 juin, de l'Exposition de voitures antiques le 23 juillet et, bien sûr, du Festival de la S.O.U.PE, le 3 septembre. La nouvelle saison s’enrichira également de quelques nouveautés des plus rafraîchissantes comme le Pique-Nique aux Oiseaux le 28 mai, le Marché Antique le 11 juin et le Festival de Yoga le 10 septembre. Autre nouveauté cette année, les visiteurs auront la possibilité de se restaurer sur place, et ce, tous les weekends à compter du 24 juin. La boulangerie Deux Grains au Moulin y tiendra un comptoir lunch lors des belles journées. Pour consulter la programmation complète, rendez-vous sur le site internet du Parc historique Pointe-du-Moulin. www.pointedumoulin.com. Une offre de services diversifiée Outre les visites guidées du Moulin et de la Maison du meunier, les animations historiques et sa riche programmation estivale, la Pointe-du-Moulin se distingue aussi par l'accueil qu'elle réserve aux groupes scolaires et aux camps de jour. Par ailleurs, il importe de souligner que la Pointe, avec son pavillon multifonctionnel polyvalent, est un endroit rêvé pour la tenue d'événements en tout genre. Construit en pleine nature, le pavillon peut recevoir jusqu'à 150 invités, quelque soit l’événement… mariage, journée d'entreprise ou une fête familiale. Toujours bien présente au sein de sa communauté, la Pointe-du-Moulin continue de collaborer avec les autres attraits de Notre-Dame-de-l'Île-Perrot, mais aussi avec la MRC de Vaudreuil-Soulanges et son CLD afin de faire rayonner la région à travers le Québec. Le 20 mai, une nouvelle saison débute à la Pointe-du-Moulin et vous êtes tous invités à assister à son renouveau!
Csur la télé annonce le lancement de sa nouvelle série "Vaudreuil-Soulanges en spectacle". Réalisé par Daniel Brunet, l’émission propose de découvrir une variété d’artistes talentueux de la région à travers une série de spectacles capté lors d’évènements spéciaux. En plus de la prestation, chaque émission inclura du contenu exclusif, des entrevues, des visites en coulisse et bien plus encore. Csur la télé désire plus que jamais s’imposer dans le paysage culturel de Vaudreuil-Soulanges comme un diffuseur télévisuel de premier plan. Chantal Bédard, directrice générale et productrice estime que ce genre de contenu a tendance à disparaître des ondes et fait le pari ambitieux d’offrir au public de Vaudreuil-Soulanges non pas ce qu'il aime déjà, mais plutôt de lui faire découvrir ce qu’il pourrait aimer. À propos de Csur la télé Créée en 2010, la télévision communautaire Csur la télé oeuvre en accord avec la politique du CRTC afin de représenter les intérêts des citoyens en matière de médias sur les ondes télévisuelles et web de la MRC de Vaudreuil-Soulanges. Csur la télé produit POUR, PAR et AVEC la communauté plus de quatre heures d’émissions originales par semaine qui sont diffusées sur ses différents réseaux. En plus de sa web télé, elle diffuse sur trois câbles télé : la chaîne 09 MAtv de Vidéotron, la chaîne 555 HD de Cogéco-Valleyfield et la chaine 57 de TV Frontenac/Colbanet à Montréal. Csur la télé rejoint près de 155 000 abonnés par câbles répartis partout dans Vaudreuil-Soulanges et la Montérégie-Ouest. Bande annonce de l'émission
Organisé par la Résidence internationale des écrivains et artistes, le Festival international de Val-David se tiendra au 1045, rue du Renard et du Corbeau. Au programme, lectures et rencontres avec des poètes et artistes du Canada bien entendu, mais aussi d’Argentine, de France, de Roumanie ou encore du Chili.
Cet événement est organisé avec l’appui du Conseil des arts du Canada et la Ligue des poètes canadiens et en collaboration avec l’Association des auteurs des Laurentides, la municipalité et le Centre d’exposition de Val-David. L'entrée est libre. Pour plus d’information, vous pouvez consulter la programmation complète du festival. C’est à la bibliothèque Gaby-Farmer-Denis que se tiendra le dimanche 11 juin prochain la Biennale littéraire des Cèdres. Cette année, ce sont les romans historiques qui seront à l'honneur. Trois auteures ont accepté de prendre part à la table ronde qui débutera dès 10h30… Hélène Buteau, archéologue et muséologue, avec ses romans La fille du tanneur et Faubourg aux Récollets, 1707; Johane Filiatrault avec Montréal tome 1 : Hochelaga et Ville-Marie : le rêve des fous, et enfin de Josée Mongeau, qui détient une maîtrise en histoire et qui a publié deux tomes dans la série intitulée "Les chroniques de Ville-Marie" : Et vogue la galère et À la guerre comme à la guerre. Cette table ronde se poursuivra avec un repas préparé par un traiteur de la région en compagnie des auteures et dès 13h30, les participants pourront assister à la conférence de Lise Chartier, auteure de deux livres portant sur l’histoire de l’île Perrot : L’Île Perrot, 1672-1765, et L’île Perrot, 1765-1860. Vers 15h30, et pour conclure cette belle journée littéraire, douze participants seront invités à embarquer à bord de la navette fluviale et à naviguer sur l’histoire des Cèdres. Un circuit commenté qui permettra de découvrir des faits intéressants sur l’histoire unique de la municipalité des Cèdres.
À Propos de la Biennale des Cèdres C’est en novembre 2013, suite à une formation de libraires où l’on mentionnait que le festival de Chambéry en France mettait la lumière sur des primo-romanciers, et ce depuis plus de trente ans, que Lynn Chadwick a eu l’idée de créer la Biennale littéraire des Cèdres. Si Eastman et ses Correspondances, si Knowlton et son Printemps Meurtrier, si St-Pacôme et son festival de littérature policière pouvaient exister, pourquoi pas un festival littéraire aux Cèdres! En janvier 2014, Lynn entreprend les démarches pour créer une OBNL qui sera enregistrée dès le mois de mars de la même année alors même que les primo-romanciers étaient trouvés et invités. La Biennale littéraire des Cèdres était née ! Les années paires seront consacrées aux auteurs d’un premier roman et afin de soutenir et encourager la relève littéraire au Québec, une bourse de 1000$ sera remise à l’auteur lauréat. Un jury étudiera les romans en lice et déterminera le gagnant. Un cachet de 200$ sera remis à chaque auteur présent. Les années impaires seront quant à elles réservées aux romans historiques et la Biennale nous fera découvrir de manière chronologique des pans méconnus de notre histoire par le biais de la fiction… de la Nouvelle-France jusqu’à nos jours.
Alors que les inscriptions de Vacances en Art vont bon train, les organisateurs dévoilent leur activité spéciale pour souligner la 10e édition de l’événement Défi Enc’Art. Cette animation se tiendra lors du vernissage qui est prévu le samedi 8 juillet à la bibliothèque de Pincourt.
Inscrivez-vous au défi ! Le défi est de créer une oeuvre d’art en 90 minutes pour la mise en vente à l’encan. L’invitation est lancée aux artistes de tous les niveaux, provenant de la région de Vaudreuil-Soulanges. À noter que tous les médiums seront acceptés et que les artistes auront la possibilité, s’ils le désirent, de créer préalablement le fond de la toile. Des abris-soleil seront disponibles sur le site mais chacun aura la responsabilité d’apporter son propre matériel. Une fois le temps écoulé, les oeuvres seront mises en vente par Encan Québec. L’artiste déterminera le prix de départ et 20 % du montant de la vente sera remis au Groupe de Soutien pour l’Arthrite et l’Arthrose (GSSAA). Tout au long du processus de création, les participants seront accompagnés par la musique du Kimberley Beyea Trio. Tout a été prévu en cas de pluie et l’événement se tiendra alors à l’intérieur de l’École secondaire du Chêne-Bleu qui se trouve 225, boulevard Pincourt. Les bénévoles du GSSAA seront sur place pour offrir des rafraîchissements et un Espace enfant sera prévu pour la création d’un dessin collectif. Les inscriptions se déroulent du 15 mai au 15 juin. Le formulaire est disponible sur le site web de la Ville de Pincourt dans la section Vacances en Art, ainsi qu’à la bibliothèque de Pincourt. Voilà une belle occasion de participer à un événement différent, tout en donnant un coup de pouce à une cause importante. Alors, inscrivez-vous dès maintenant ! Pour information complémentaire, vous avez la possibilité de prendre contact avec Célia Corriveau en appelant au 514 453-8981 - poste 273, ou en lui envoyant un message à c.corriveau@villepincourt.qc.ca.
La Maison Trestler a également le plaisir de vous annoncer l’ouverture du salon de thé de Catherine Trestler, dès le mardi 6 juin prochain. Le salon de thé sera ouvert du lundi au vendredi, sur réservation seulement, entre 13h30 et 16h00.
Il y a quelques années un client de longue date m’a offert un livre sur le monde des galeristes Il s’agit d’un livre édité en France mais dont les principes s’appliquent tout aussi bien ici. Ayant particulièrement trouvé que la conclusion du volume résumait bien ma façon de penser, j'en partage ici avec vous ces quelques paragraphes... "Que faites-vous samedi ? Vous n’êtes pas libre ? Ah c’est vrai ! Toujours les galeries!" Combien de fois ai-je entendu cette phrase, accompagnée d’un sourire indulgent ou ironique selon l’interlocuteur. Aux amateurs qui arpentent les galeries le samedi après-midi, on demande souvent pourquoi ils se donnent cette peine : "Ne vaudrait-il pas mieux fréquenter la salle des ventes après vous être fait envoyer les catalogues ? Où aller voir directement les artistes dans leurs ateliers?" Salle des ventes, ateliers et galeries ne sont pourtant pas antinomiques et bien des collectionneurs connaissent les trois circuits. Cependant, dans les ventes aux enchères, les choses vont trop vite et être sous la menace d’un marteau qui gâche le plaisir. Dans les ateliers d’artistes, l’angoisse naît du face-à-face avec l’artiste, dont vous devenez prisonnier : il vous est difficile d’émettre un jugement critique, et même d’écouter votre intuition, vous perdez votre libre arbitre. Le galeriste fait tampon entre l’artiste et l’amateur, il assure la bonne distance, il allège. Il joue le rôle important de filtre. C’est lui qui est allé dans l’atelier choisir les œuvres, il les a sélectionnées et a réfléchi à leur présentation - encadrement et accrochage -, il est aussi un metteur en scène. Chez lui, vous pouvez prendre votre temps, critiquer, réfléchir, revoir les œuvres, discuter les prix et les conditions de paiement. Les amateurs qui imaginent faire de bonnes affaires en contournant les galeristes se trompent.
Les galeries sont un lieu pour la curiosité mais aussi pour la rencontre, la sociabilité et même la fraternité : rien ne rapproche davantage de quelqu’un que l’intérêt pour l’art, l’amour ou le rejet d’une œuvre. Elles sont agréables en toutes saisons. Par beau temps, vous y verrez quantité de jeunes gens flânant et devisant. Par temps de pluie ou de froidure, vous trouverez un accueil plus attentif de la part du galeriste et vous aurez l’impression d’être un vrai petit soldat de l’art… Les samedis, me direz-vous, sont quelquefois bien décevants : quatre heures de marche, une douzaine de galeries visitées, aucune découverte, aucun coup de cœur. La rentabilité n’est pas forcément au rendez-vous. Mais, pour autant, vous n’avez pas perdu votre temps. Il y a quelque chose d’exaltant à s’imposer une telle discipline : vous vous tenez au courant de la création, du marché, de l’air du temps, vous participez au monde contemporain. Vivement samedi ! Je vous laisse sur ces quelques mots et j’espère vous voir cette semaine ou la suivante ou quand vous aurez envie de vous offrir un moment de réflexion, de paix et de beau. Visitez les galeries en plus d’être très agréable c’est gratuit! Source : Galeristes, entretiens, d’Anne Martin-Fugier, Actes Sud 2010, p.p.283 à 285.
Photo de Pierre Séguin : Daniel Bouguerra |
AuteurChristian Gonzalez Catégories
Tous
Partenaires |