Perpétuellement guidée par sa passion pour l’écriture et notamment pour la poésie, Nane Couzier sera l’invitée de l’atelier d’écriture poétique thématique Juste des mots justes, mis sur pied par Culture en éveil et animé par Nathalyrmène Rousseau. Cet atelier, qui se tiendra le dimanche 26 février de 13h00 à 15h00 dans le tout nouveau lounge du Cafexo de Vaudreuil-Dorion, vous permettra d’échanger avec l’auteure et surtout de profiter de ses judicieux conseils. Au programme : La poésie dans l’univers des pratiques d’écriture
Alors, si vous avez des histoires à raconter, des mots en tête et des émotions que vous ressentez tellement que vous aimeriez les coucher sur papier, peut-être même de manière poétique, n’hésitez pas un instant… tout ceci s’apprend et se travaille et vous risquez fort de trouver votre bonheur lors de cette rencontre avec Nane Couzier. Ces ateliers qui sont organisés jusqu’à juin 2017, chaque dernier dimanche du mois, permettront à des intervenants chaque fois différents de vous initier au plaisir des mots bien pensés comme à celui des pensées bien mises en mots… Le coût de participation est de 15$. Pour toute information complémentaire ou pour vous inscrire, vous pouvez envoyer un message à Nathalyrmène Rousseau ou encore l’appeler au 514 641-3765. Le Cafexo est situé au 358 avenue Saint-Charles à Vaudreuil-Dorion.
Impliquée depuis les années 80 à différents niveaux de la vie littéraire, elle a tour à tour œuvré à l’emploi d’entreprises ou d’institutions, au service d’associations ou d’organismes, à son compte ou en son nom, comme agent d'élaboration de projets, communicatrice, intervenante, animatrice, chargée de programmation ou d’édition, consultante ou médiatrice. Elle a, entre autres, dirigé la collection Voix vives chez IQ éditeur (Montréal) de 2000 à 2006 et piloté, de 1990 à 1997, en partie depuis le Conseil montérégien de la Culture et des Communications, l'implantation d'un vaste réseau de solidarités pour les écrivains de sa région : Quinzaine du livre en Montérégie, Parrainage d'écrivains, Association des auteurs de la Montérégie, Prix de la relève littéraire du Suroît… pour l’essentiel. Retirée du marché de l’emploi depuis 2013, elle reste active dans son milieu en tant qu’auteur-conseil et personne-ressource en animation du livre et de l’écrit. Si vous cherchez une activité familiale gratuite à faire aujourd’hui, samedi 18 février, sachez que Roger Brabant, sculpteur d'art populaire de Rigaud, vous attend de 11h00 à 15h00 à la bibliothèque de Rigaud au 102, rue Saint-Pierre, pour vous faire une visite guidée de son exposition Le poulailler imaginaire… Cette exposition aussi sympathique que poétique vous propose toute une microsociété de personnalités du Québec et d'ailleurs, du passé, du présent et du futur. Chaque sculpture est fabriquée à partir de bois ancestral québécois provenant de bâtiments de fermes trop endommagés pour être réparés. Ces matériaux centenaires donnent le ton à l'exposition. Bienvenue à tous et à toutes! Le Yo, Je suis Pouleversé, Le Timide et Lady Gaga, entre autres… vous y attendent!
Christian Gonzalez est de ceux qui pensent qu’en intellectualisant l’art on en éloigne le grand public et beaucoup trop de personnes qui ont encore la fâcheuse tendance de penser que cet univers est réservé à une "élite". Un sentiment qui n’a pas lieu d’être car l’art nous le vivons et le consommons tous les jours, parfois même de façon inconsciente. C’est probablement cette volonté de vulgariser, d’essayer de faire changer les mentalités et de brusquer les habitudes qui lui ont valu le qualificatif d’agitateur culturel. Un titre qui lui a spontanément été donné par la communauté artistique elle-même et qu’il revendique. Aussi, c’est en tant qu’agitateur culturel et d’électron libre qu’il rédigera ses prochaines chroniques. La semaine prochaine il nous expliquera que "L’Art est une émotion, pas une sensation". Cette chronique aurait pu s’intituler "De l’art ou du cochon", mais pour une première, il a préféré modérer un tantinet ses propos… À suivre! La petite histoire du papillon bleu Le papillon bleu que porte Christian Gonzalez est un vrai papillon, parfaitement conservé, qui lui a été prêté par David Marenger pour les besoins de la photo. Vous souvenez-vous de David? C’est ce petit garçon qui était atteint d’un cancer au cervelet et qui, malgré les traitements et opérations, était condamné à mourir. Le projet Rêves d'enfants lui avait permis de réaliser le sien avant de nous quitter: aller au Mexique pour attraper le Morpho bleu, ce papillon qui le faisait rêver enfant. Son histoire a donné lieu à un livre et à un film émouvant: Le papillon bleu. À force de courage et de persévérance, il est toujours là, 30 ans après… et en pleine forme ! Photo : Daniel Bouguerra
Galeriste, quel mystérieux métier! Métier ou profession? Vendeur ou conseiller? Artiste ou non? Comment devient-on galeriste? Allons-y une question à la fois... Métier ou profession? La définition du Petit Larousse illustré au mot métier nous indique "profession caractérisée par une spécificité exigeant une formation, de l’expérience, etc." Sous profession, la définition du dictionnaire dit "activité régulière exercée pour gagner sa vie : métier." Dans les deux cas, une école pour devenir galeriste, ça n’existe pas, on le devient. C’est un métier de passion, souvent une profession de foi. Vendeur ou conseiller ? Ici encore je dirais que les deux sont indissociables. Un bon galeriste est à l’écoute de son client. Il bâtit un climat de confiance. Il fait profiter le client de son expérience acquise au fil des ans. Il lui recommande tel ou tel artiste, car il a pris le temps d’écouter qui est devant lui, quels sont ses goûts, ses habitudes, ses besoins et il respecte son budget. Ce faisant il conseille adéquatement. Artiste ou non, le galeriste ? Ici la phrase de Pierre Bourgault prend tout son sens : "Il faut autant de talent pour apprécier une œuvre d’art que pour la faire". Je crois que les galeristes sont des artistes à leur manière, des vulgarisateurs, des bons communicateurs et des amoureux, autant de l’art que des gens. Comment devient-on galeriste ?
En conclusion, une galerie demeure encore aujourd’hui pour certains un endroit intimidant. On ose à peine y entrer par gêne. On se dit c’est surement très dispendieux. Etc. Ce sentiment est bien légitime, car une galerie n’est pas un lieu impersonnel comme peut l’être un centre commercial ou un magasin à grande surface. Dans une bonne galerie, son galeriste vous accueille à votre arrivée. On vous salue et on vous présente les œuvres et les artistes qui les ont créées. Comme me le soulignait un confrère galeriste, une galerie, c’est le seul endroit où les gens peuvent voir gratuitement des œuvres d’art, alors il ne faut pas se gêner et en profiter pleinement. Le métier de galeriste est un étrange mélange de goût du risque et de l’aventure artistique. C’est tout simplement plaisant et je savoure chaque jour ce privilège. Quelques artistes représentés par la Galerie Pierre Séguin
Organisées par le Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, les Seigneuriales de Vaudreuil-Dorion se tiendront cette année du 1er au 4 juin. Ce sera également l’occasion de découvrir le nouveau logo, du moins le logo "revampé" à l’occasion du 25ème anniversaire de cet événement historique incontournable. Christiane Lévesque, la coordonnatrice des Seigneuriales, souhaitait donner un coup de jeune à ce logo sans pour autant dénaturer le côté historique de l’événement auquel il fait référence. La tâche fut confiée au graphiste Martin Lauzier qui a parfaitement su répondre aux objectifs du mandat et mettre en valeur la nouvelle signature. En voici la symbolique… Cliquez sur l'image pour agrandir
Gérard Poirier a récemment fait une entrée remarquée dans le répertoire des "Talents d’ici". Le sculpteur de Terrasse-Vaudreuil qui sera présent lors de la 6ème édition de l’Art au vignoble qui se tiendra cet été au vignoble Côte de Vaudreuil présentera aussi quelques-unes de ses œuvres lors de la 11ème édition du DADA organisé par la Maison des Arts et de la Culture Saint-Faustin. Cet événement qui se déroulera du 1er avril au 3 juin 2017 représente la plus importante exposition DADA au Québec. Peut-être pourriez-vous également y participer… Le mouvement "Dada" fut créé dans le but de briser toutes les conventions imposées dans l'art. Que vous décidiez de créer quelque chose d'hétéroclite, d'extravagants, humoristique ou irrévérencieux, on vous invite à joindre cette exposition complètement déjantée. Le DADA, c'est aller à l'encontre de toutes les idées habituelles de l'art. Peu importe votre discipline, vous êtes invités à créer une pièce unique. Que ce soit sous forme d’un tableau, d’une sculpture, d’un vêtement, d’un texte ou d’une installation, le tout doit être emballé de créativité et d’imagination. Allez-y! Faites galoper votre talent à fond de train. Conditions de participation Seules les oeuvres jugées comme purement “DADA” seront acceptées. Il vous faudra envoyer une photo représentant l'œuvre et compléter le formulaire d’inscription avant vendredi le 24 mars 2017. L'œuvre devra être munie d'une fixation, d’un support ou d’un socle adéquat. L'artiste s'engage à livrer impérativement son œuvre le dimanche 26 mars ou le mercredi 29 mars 2017, entre 11h00 et 16h00. Vous devez également être membre en règle de la Maison des Arts. Le coût pour devenir membre est de 35$ (pour un an) payable au “Groupe d’Art Saint-Faustin”. Formulaire d'adhésion Le vernissage est prévu le dimanche 9 avril, de 14h00 à 16h00 et une activité de levée de fonds, avec dégustation de portos aura lieu le samedi le 22 avril 2017 à 19h00. Veuillez noter qu’un pique-nique DADA sera organisé le samedi le 3 juin de 12h00 à 16h00, juste avant le décrochage.
Maison des Arts et de la Culture Saint-Faustin
1171, rue de la Pisciculture Saint-Faustin-Lac-Carré, Qc J0T 1J3 Tél. : 819 688-2676 Site internet Courriel : administration@maisondesarts.ca Josette Trépanier aborde son travail d’un geste spontané en peignant des touches de couleurs choisies : bleu, gris, sépia, terre d’ombre naturel, noir, blanc… Dans le processus de réalisation d’un tableau, l’artiste de Vaudreuil-Dorion pose des gestes et des formes signifiantes en s’appliquant à la structure et l’équilibre de sa composition. Elle s’impose le silence et la lenteur des gestes afin de découvrir des images surprenantes et une nouvelle perception des lieux et des espaces.
À sa façon un tableau est une histoire… elle en fait l’écriture pour décrire un contenu visible de subtilité et de sensibilité sous une forme épurée et simplifiée. Josette Trépanier vient de rejoindre le répertoire des "Talents d’ici." Pour découvrir le travail de l’artiste, une petite visite dans l’espace qui lui a été réservé s’impose. Gérard Poirier habite Terrasse-Vaudreuil depuis une quarantaine d’années. Il est devenu sculpteur professionnel au cours des dix dernières années en se consacrant davantage à la création, en devenant membre d’associations d’artistes et en participant à divers événements artistiques. C'est en 2010 qu'il a été reconnu artiste professionnel par le RAAV, le Regroupement des Artistes en Arts visuels du Québec.
Soudeur de métier, Gérard Poirier est un artiste autodidacte qui évolue dans le domaine des arts visuels depuis plus de 40 ans. Il réalise des sculptures en utilisant le métal, le bois ou la pierre et conçoit des œuvres de style et de format diversifiés, destinées aux environnements intérieurs ou extérieurs. Il tire principalement son inspiration des éléments de la nature, des matériaux récupérés mais aussi des situations sociales ou politiques. Certaines des œuvres monumentales de Gérard Poirier sont visibles au vignoble Côte de Vaudreuil, notamment pendant l’événement L’Art au vignoble dont la 6ème édition débutera le 17 juin prochain. En attendant, le sculpteur vient de faire son entrée dans le répertoire des "Talents d'ici". Pour en savoir plus sur l'artiste et découvrir son travail, rendez-vous dans l'espace qui lui a été réservé. Un peintre qui rachète ses tableaux pour les brûler, un camembert qui inspire un chef-d’œuvre à Dali ou encore une exposition qui ne présente absolument aucune œuvre de l’artiste... le monde de l’art regorge d’anecdotes, d’histoires insolites et de détails croustillants. Le génie des grands maîtres comme celui d’artistes moins connus est souvent teinté d’un brin de folie et d’une dose d’humour qui les rendent éminemment sympathiques, accessibles et... humains!
Totalement dans l’esprit de l’exposition des artistes en herbe Je m’inspire des grands maîtres... qui se déroule actuellement au Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, cette conférence s’adresse à un jeune public et à tous ceux qui souhaitent aborder l’art avec un œil différent. Ce sera est une belle manière de se plonger dans les dédales du processus créatif, de découvrir la face cachée de certaines œuvres et de démontrer que l’art est tout, sauf... ennuyant! J’aurai le plaisir de vous en parler lors de cette conférence qui sera donnée au Musée régional de Vaudreuil-Soulanges, le dimanche 19 février à 14h00. L’activité est gratuite et convient autant aux enfants qu’aux adultes, il est toutefois demandé de réserver sa place au 450 455-2092 ou encore de confirmer sa présence via la page Facebook de l'événement.
En art, les goûts varient autant que les clients; c'est pourquoi Pierre Séguin est à votre écoute et à votre service. Il a un amour de la création et des arts. Laissez-le partager cette douce folie avec vous! Le métier de galeriste Galeriste, quel mystérieux métier! Métier ou profession? Vendeur ou conseiller? Artiste ou non? Comment devient-on galeriste? Voilà de quoi il vous entretiendra dès la semaine prochaine dans sa prochaine chronique. À lire sans faute le jeudi 16 février prochain. Photo : Daniel Bouguerra
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