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Sandra Lane est née à Vaudreuil un certain dimanche matin. Journée de repos et d’indolence, peut-être est-ce là la raison pour laquelle elle a préféré vivre son enfance dans l’imaginaire plutôt que dans l’action. C’est d’image en image que les histoires ont pris naissance dans sa tête. Elles se développaient, progressaient, s’incrustaient parfois jusque dans son âme. Elle les a accompagnées, elle les a ignorées. Elle les a aimées et détestées. Elle a même tenté de les tuer. Puis, elle a compris qu’aux images, il manquait les mots. Même si pour elle l’apprentissage de la lecture fût une tâche ardue, elle a rapidement aimé la lecture. Maintenant diplômée de l’Université de Montréal en études françaises, elle met des mots sur les images. |
Pourtant, avant d’en faire des histoires, elle a pris bien des détours. Au fil des ans, elle a évolué dans des milieux aussi divers que l’enseignement, les télécommunications, les ressources humaines ou la comptabilité. Partout où elle est passée, les mots n’ont jamais cessé de l’accompagner. Ils relient entre elles les images qui deviennent ainsi des romans. Des histoires qui évoluent bien au-delà de la fixité des clichés qui les composent. Après un premier roman "Partir pour oublier… un salaud", une histoire, inspirée de ses voyages en Europe, qui s’inscrit dans le courant chick lit, elle nous offre "Roman d’amour", une trilogie légère et très agréable à lire qui se décline en trois tomes : "Un peu de romance SVP!", "Pourvu que ça dure" et "Pour le meilleur…". |
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