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Historique des noms de rue : A à H

Adèle, rue : du nom d’Adèle Brodeur, épouse du docteur Azarie Brodeur, propriétaire de nombreux terrains, à Dorion où est située cette rue.

Allen, avenue : tiré du prénom anglais d’Alain Chartier de Lotbinière, l'un des fils de Robert Unwin Harwood et de Louise-Josephte de Lotbinière, propriétaires de La seigneurie de Vaudreuil en 1829.

Anse, chemin de l' : il s'agit d'une appellation très ancienne faisant référence aux terres de la concession de l’Anse de Vaudreuil, qui était aussi appelée autrefois "ance au soldat"  sur la carte de Murray (1760-1762).

Bédard, rue : en l'honneur du maire Germain Bédard, maire de Vaudreuil de 1911 à 1985; anciennement Saint-Charles. Ce Saint-Charles mentionné sur le premier plan du Bourg de Vaudreuil, réalisé en 1783 par Pierre R. Gagnier, pourrait être relié à la famille de Louise-Madeleine Chaussegros de Léry, épouse de Michel Chartier de Lotbinière, dont plusieurs membres ont porté ce prénom.

Brabant, rue : nommée en l'honneur de Denis Brabant, un des premiers industriels de Dorion (lndustries Dorion, 1926) et conseiller de 1953 à 1959.

Bray, rue : rappelle la mémoire de M. Allen Bray, député conservateur de 1923 à 1927 dans Saint-Hubert. Conseiller de Saint-Henri à la Ville de Montréal, iI en a été le président du Comité exécutif en 1930-1931.

Brodeur, rue : tire son nom du docteur Azarie Brodeur qui, au début du XXe siècle, en possédait presque toutes les terres. Il les avait acquises de la succession de François-Xavier Archambault, avocat, qui habitait une somptueuse villa sur la pointe du même nom.

Cadieux, montée : commémore le souvenir des Cadieux, agriculteurs propriétaires de la terre longeant cette montée près de laquelle a été érigé le complexe pharmaceutique Hoffman-Laroche.

Cèdres, avenue des : anciennement avenue Hamilton. Plusieurs familles Hamilton vont habiter à Dorion à la fin du XlXe siècle. Ce nom rappelle la tragédie d'une dame Hamilton qui a perdu la vie en essayant sans succès de sauver ses trois enfants de la noyade.

Charbonneau, avenue : inspiré du nom du commerce situé à proximité et appartenant originellement à Omer Charbonneau.

Chenaux, chemin des : prolongeant la rue Saint-Michel, l'appellation les Chenaux est un régionalisme rappelant les petits cours d'eaux et autres accidents géographiques sis le long de la rive de ce chemin qui se rend jusqu'à la municipalité de Vaudreuil-sur-le-lac. On y retrouve la Croix des Chenaux, réplique de la croix érigée par Jacques Cartier à Gaspé le 24 juillet 1534.

Cité des Jeunes, boulevard de la : originellement chemin de la petite rivière Quinchien pour la partie de la rue Jeannotte jusqu'aux limites avec la municipalité de Saint-Lazare, cette appellation a été modifiée en 1964 pour celle de Cité des Jeunes, en l'honneur du nouveau complexe éducationnel fondé par PauI Gérin-Lajoie, député de Vaudreuil-Soulanges et ministre de l'Éducation. À l'époque, ce chemin faisait partie du domaine des seigneurs de VaudreuiI qui était appelé Quinchien.

Chicoine, rue : en l'honneur d'un homme d'affaires L.P. Chicoine qui a donné la rue à la municipalité de Dorion en l947. ll a été échevin à Dorion de 1940 à 1944.

Commune, chemin de la : rappelle le pré communal sis à l'arrière de la Maison Trestler et devant les résidences de la rue Rodolphe (61 et 71) ayant leur façade sur l'Outaouais. Les fermiers venaient y faire paître leurs animaux lors des travaux d’abatis des arbres sur leurs terres alors en développement.

Club, avenue du : nommée ainsi en l'honneur du Vaudreuil Boating Club, club d'aviron inauguré le 22 juillet 1893. L’emprise de terrain fut offerte au village de Dorion en 1893 par R.L. Gault qui en possédait les terres ainsi que le docteur Azarie Brodeur. La rue fut ouverte en 1894.

Dumont, rue : nommée ainsi en l'honneur de Georges Dumont, homme d'affaires de Dorion, échevin de 1920 à 1922 et maire de Dorion de 1922 à 1926.

Église, rue de l' : rappelle la première église de Dorion érigée au coin de la rue Rodolphe. Cette première église était en réalité la chapelle construite pour les villégiateurs sur une parcelle de terre d’Adèle Trestler en 1893. La nouvelle chapelle est placée sous Ie vocable de Très-Sainte-Trinité, une dévotion particulière de Mgr Raymond-Marie Rouleau, 2e évêque de Valleyfield.


Émond, rue : en hommage aux familles Émond, propriétaires de la terre, de la première concession de Quinchien. Cette rue fut offerte à la ville de Dorion par Paul Émond en novembre 1946.

Fabrique, avenue de la : rappelle la création en 1947 de l'oeuvre de la Fabrique de l'église Saint-Jean-Baptiste. Nouvelle paroisse de Dorion située du côté sud des voies ferrées du Canadien National. L'église fut construite en 1949 sur une partie de l'ancienne terre de Victor Valois et inaugurée officiellement en 1950 par la bénédiction de Mgr J. A. Langlois, évêque de Valleyfield. Le presbytère est construit où était l'ancienne maison des Valois.

Galt, rue : l’appellation de cette rue est sans doute une modification du nom de R. L. Gault, un villégiateur et propriétaire terrien à qui l’on doit l'implantation de l’artère menant de la rue Saint-Charles au Club d'aviron.

Harwood, boulevard : nommé en l'honneur de Robert Unwin Harwood, propriétaire avec son épouse de la seigneurie au XlXe  siècle. À l’origine cette artère était l'avenue principale du village Sheffield, le tout premier village de Dorion sis entre la voie ferrée du Canadien National et les terres au sud-est de la rue Saint-Charles actuelle. Par la suite cette artère se poursuivra aux limites de la municipalité de Dorion jusqu'à la fusion avec VaudreuiI en 1994.

Harwood, rue : cette route qui rejoint le boulevard qui porte le même dénomination  à Dorion perpétue le nom de Robert Unwin Harwood, administrateur de la seigneurie de Vaudreuil, suite à son mariage avec Louise Josephte de Lotbinière, héritière de la seigneurie. Cette route reprend l’ancien tracé de la route 17, ancêtre de l'autoroute 40, qui passant par l'île Perrot et Dorion reliait Montréal à Ottawa. Elle avait été construite en 1931 à l'époque de la Grande dépression, la fameuse crise de 1929, donnant du travail à de nombreux sans emplois.

Hôtel-de-Ville, rue de l' : cette appellation date de l'installation en 1952 des bureaux municipaux de Dorion dans la salle Wilson, à côté de la caserne de pompiers à l'angle de la rue Saint-Charles. Cette salle municipale avait été construite en 1927 grâce à une subvention du député Wilson et de nombreux bienfaiteurs. En 1960 l'ensemble de l'édifice est converti en hôtel-de-ville. Auparavant cette rue portait le nom de Ewing, un villégiateur.


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Historique des noms de rue : J à W

Jeannotte, rue : nommée en l'honneur d’Adhémar Jeannotte, historien et curé de la paroisse Saint-Michel de Vaudreuil (1946-1969). ll s'est particulièrement révélé par ses travaux de recherches généalogiques sur la population vaudreuilloise. À l’origine cette rue portait le nom de chemin de la petite rivière Quinchien.

Lalonde, rue : nommée ainsi en l'honneur de Joseph Lalonde, propriétaire du lot terrier 32 (cadastre 142).

Lefebvre, rue : en l'honneur de ta famille Lefebvre, propriétaire de la terre.

Léger, rue : en hommage aux familles Léger parmi les plus anciennes de vaudreuil. Plusieurs Léger ont vécu à proximité de cette rue; Joseph Léger avait construit sa résidence tout juste sur l'autre rive de la rivière Quinchien (405, Saint-Charles). Cette nouvelle appellation décrétée suite à la fusion des villes de Vaudreuil et Dorion remplaçait celle de Saint-Jean Baptiste, honorant l'oeuvre du curé Jean-Baptiste Deguire, curé constructeur de l'église Saint-Michel (1783-1789).

De Lotbinière, route : du nom de la famille de Lotbinière qui a géré la seigneurie de Vaudreuil de 1763 à 1822. C’est l'ancienne route 2 ouverte vers 1932 qui rejoignait le chemin longeant le canal Soulanges. Elle s'est appelée aussi boulevard Lalonde avant l'actuelle vers 1964.

Louise-Josephte, rue : en l'honneur de la seigneuresse Louise-Josephte de Lotbinière, épouse de Robert Unwin Harwood. Elle était la fille aînée d’Alain Chartier de Lotbinière et de Charlotte Munro; anciennement elle portait le nom de Saint-Joseph, du nom de Josephte Godefroy de Tonnancour, première épouse du seigneur Alain Chartier de Lotbinière.

Melville, rue : du nom du propriétaire qui a donné la rue à la ville de Dorion.

Petite Rivière, chemin de la : longe la petite rivière Quinchien. ll faisait partie du domaine des seigneurs de Vaudreuil qui était appelé «Kinchien», une appellation algonquine mentionnée par Champlain lors de son passage en 1613 et que Philippe de Rigaud de vaudreuille avait choisie pour désigner son domaine sis le long de cette petite rivière.

Robert, avenue : de Robert William de Lotbinière Harwood, fils de Robert Unwin et de Louise-Josephte, né en 1826. ll fut membre du parlement fédéral de 1872 à 1874 et maire de la paroisse de Vaudreuil de 1864 à 1870. Il avait épousé, en 1856, Charlotte McGillis.

Rodolphe, avenue : du nom de Rodolphe-Seitten Trestler (1836-1914), fils de Jean-Baptiste Curtius Trestler, second fils de Jean-Joseph Trestler. Rodolphe fut dentiste et employé de douanes.

Sabourin, avenue : nommée en l'honneur de Claire Sabourin, conseillère municipale à Dorion de 1984 à 1991; anciennement elle portait le nom de St-Antoine , d’Antoine Chartier de Lotbinière, premier fils de Robert Unwin Harwood et de Louise Josephte de Lotbinière, propriétaires de la seigneurie de Vaudreuil en 1829.

Sainte-Angélique, rue : nom attribuée en l'honneur d’Angélique de Lotbinière, fille du seigneur Alain chartier de Lotbinière. Elle était née le 4 septembre 1806 avec sa sœur jumelle Marie et est décédée en bas âge.



Saint-Charles, avenue : nommée vers 1891 en l'honneur de Charles L. de Lotbinière Harwood, fils de Robert Unwin Harwood et de Louise-Josephte de Lotbinière. À l’origine cette appellation était restreinte aux territoires du village Sheffield puis fut utilisée par la suite pour remplacer celle de chemin Quinchien, entre le village de Dorion et celui de Vaudreuil. Dans le secteur Vaudreuil, il succède aux appellations de grand chemin de vaudreuil datant d’avant 1792, du chemin du Bois-Vert, du nom du domaine seigneurial à l'époque de Robert Unwin Harwood (vers 1830); cette avenue a aussi porté le nom de boulevard Roche au début des années 1970, honorant l'implantation de la compagnie pharmaceutique Hoffmann- LaRoche sur la terre des Besner, près de l’autoroute 40.

Saint-Henri, avenue : en l'honneur d'Henry Stanislas de Lotbinière Harwood, fils de Robert Unwin et de Louise-Josephte. ll travailla aux postes à Montréal et au gouvernement fédéral, fut élu à la chambre des communes d’Ottawa en 1896 et 1900. Henry Stanislas fut maire de la paroisse de Vaudreuil de 1870 à 1882.

Saint-Jean-Baptiste, avenue : du nom de la nouvelle desserte érigée le 9 novembre 1947 par Mgr Joseph-Alfred Langlois, du diocèse de Valleyfield; le 23 septembre 1947 l'évêque émet le décret de reconnaissance de la nouvelle paroisse. Quinchien était l’ancien nom de cette rue. Voir les édifices

Saint-Joseph, rue : nommée en l'honneur de Joseph Lalonde, propriétaire du lot terrier 32 (cadastre 142).

Sainte-Julie, rue : en l'honneur de Julie-Christine, fille du seigneur Alain Chartier de Lotbinière et de Charlotte Munro. Elle épouse Pierre-Gustave Joly, en 1829, et devient seigneuresse de Lotbinière, en banlieue de Québec.

Saint-Louis, rue : inspiré du nom de Louis Beaumont, premier curé, 1775-1780; aussi nom de la paroisse Saint-Louis du haut de l'île dont la mission amérindienne de l'île aux Tourtes faisait partie... Saint Louis était aussi un saint très vénéré par la famille seigneuriale des de Lotbinière; leur chapelle seigneuriale dans l'église Saint-Michel Iui étant consacré.

Sainte-Madeleine, rue : en l'honneur de Louise-Madeleine Chaussegros de Léry, fille du célèbre ingénieur militaire Gaspard Chaussegros de Léry et épouse de MicheI Chartier de Lotbinière, propriétaire de la seigneurie de Vaudreuil à partir de 1763. Elle était aussi la mère du seigneur Alain Chartier de Lotbinière qui acquit la seigneurie en 1771.

Sainte-Marguerite, rue : existait déjà sur le premier plan du Bourg de VaudreuiI réalisé en 1783 par Pierre R. Gagner. Ce nom pourrait honorer la mémoire de Marguerite Marie Anne Seaman, mère de Marie Josephte Godefroy de Tonnancour, première épouse du seigneur Alain Chartier de Lotbinière.

Saint-Michel, rue : du nom du seigneur Michel Chartier de Lotbinière, propriétaire de ce fief de Lotbinière en Vaudreuil; il avait acquis en 1763 la seigneurie de Vaudreuil de ses petits-cousins Pierre et François Pierre de Rigaud. L’évêque Jean-Olivier Briand acquiesça à la demande de Michel Chartier pour que la nouvelle paroisse créée grâce à la donation des terrains par le seigneur porte le nom de saint Michel; honorant ainsi le nom de Michel Chartier de Lotbinière.




Stroud, avenue : nommé ainsi en l'honneur de Russel R. Stroud, grand agent financier de l'époque.

Tooke, rue : nom donné en l'honneur de M. Tooke, fabricant de chemises de Montréal qui possédait une résidence à l'extrémité de cette rue.

Trestler, rue : en l'honneur de Jean-Joseph Trestler (Johann-Joshef Trôsller), mercenaire allemand du corps de chasseurs Hesse-Hanau venu combattre aux côtés des troupes britanniques lors de la révolution américaine. Après sa démobilisation en 1783, il s’établit à Vaudreuil et fonde un empire commercial à la pointe de Quinchien en construisant entre autres l'immense maison-magasin de pierre de la rue de la Commune. Voir les édifices

Valois, rue : nommée en l'honneur de Jean-Baptiste, de Alphonse, de Ludger ainsi que d'Évariste, propriétaires des terres de ce secteur; aussi nommée Montée des renards parce qu’on y trouvait, au début du XXe siècle, les renardières des Besner, Desmarchais et Bérubé. Les frères Auguste et Saül De Repentigny y opéraient une scierie qui a fourni nombre de matériaux pour la construction des résidences de Dorion. La rue fut donnée à la municipalité par Évariste Valois et Évariste Besner. Voir les édifices

Vaudreuil, avenue : du nom de la seigneurie qui fut concédée à Philippe de Rigaud de Vaudreuille (près de Toulouse en France) le 12 octobre 1702 par Louis-Hector de Callière, gouverneur et lieutenant général pour le roi Louis XIV et François de Beauharnois, intendant.

William, avenue : du nom de Robert William de Lotbinière Harwood, fils de Robert Unwin et de Louise-Josephte, né en 1826. ll fut membre du parlement fédéral de 1872 à 1874 et maire de la paroisse de Vaudreuil de 1864 à 1870. Il avait épousé en 1856 Charlotte McGillis.


Source
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Informations tirées du guide "Partez à la Découverte de Vaudreuil-Dorion", produit par la Ville de Vaudreuil-Dorion. Vous pouvez consulter ce guide ou le télécharger en cliquant sur le lien ci-dessous :
partez à la découverte de Vaudreuil-Dorion
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